La Banque Centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest (Bceao) a pris les devants, face à la propagation du Coronavirus (Covid-19), l’institution financière qui regroupe le Benin, le Burkina Faso, la Côte d’Ivoire, la Guinée Bissau, le Mali, Le Niger, le Sénégal et le Togo, ne souhaite pas voir ses pays membres connaitre un brusque ralentissement de leur économie.
Elle compte donc préserver les pays de l’Union Monétaire Ouest Africaine (Umoa) d’une crise économique post Coronavirus. Comme en 2008 où la Bceao avait épargné ses membres de la crise financière commencé en 2007 aux Etats Unies avant d’affecter pratiquement tous les pays, l’institution financière veut reproduire le même schéma ou presque.
Depuis une dizaine de jours , la Bceao mène des réflexions sur l’impact de la maladie sur les économies des Etats membres de l’Umoa. Ces réflexions sont menées par des équipes mixtes de recherche, chacune composée d’un chercheur ou d’un universitaire et à titre de co-responsable de projet de recherche, d’un cadre de la direction de la recherche de la Bceao.
Ces équipes permettront à la Bceao d’atteindre plusieurs objectifs. D’abord la Banque Centrale aura à sa disposition des analyses très avancées sur les conséquences du Covid-19 sur les économies des pays membres.
Ensuite l’institution financière aura des recommandations qu’elle pourra mettre à la disposition des Etats membres pour faire face à la crise. La Bceao qui a eu recours à des ressources humaines de haut niveau spécialisées dans les économies disposera à la fin des travaux d’un document bien détaillé sur les conséquences de la pandémie du coronavirus.
Ainsi depuis le démarrage des travaux les équipes sont en train de voir comment gérer les impacts de la pandémie du Covid-19 sur les économies du pays membres de l’Umoa. Les experts qui traitent présentement les informations sur la pandémie comptent livrer leur rapport en fin de semaine.
L’Observateur
Elle compte donc préserver les pays de l’Union Monétaire Ouest Africaine (Umoa) d’une crise économique post Coronavirus. Comme en 2008 où la Bceao avait épargné ses membres de la crise financière commencé en 2007 aux Etats Unies avant d’affecter pratiquement tous les pays, l’institution financière veut reproduire le même schéma ou presque.
Depuis une dizaine de jours , la Bceao mène des réflexions sur l’impact de la maladie sur les économies des Etats membres de l’Umoa. Ces réflexions sont menées par des équipes mixtes de recherche, chacune composée d’un chercheur ou d’un universitaire et à titre de co-responsable de projet de recherche, d’un cadre de la direction de la recherche de la Bceao.
Ces équipes permettront à la Bceao d’atteindre plusieurs objectifs. D’abord la Banque Centrale aura à sa disposition des analyses très avancées sur les conséquences du Covid-19 sur les économies des pays membres.
Ensuite l’institution financière aura des recommandations qu’elle pourra mettre à la disposition des Etats membres pour faire face à la crise. La Bceao qui a eu recours à des ressources humaines de haut niveau spécialisées dans les économies disposera à la fin des travaux d’un document bien détaillé sur les conséquences de la pandémie du coronavirus.
Ainsi depuis le démarrage des travaux les équipes sont en train de voir comment gérer les impacts de la pandémie du Covid-19 sur les économies du pays membres de l’Umoa. Les experts qui traitent présentement les informations sur la pandémie comptent livrer leur rapport en fin de semaine.
L’Observateur