Selon les dirigeants de la banque, le produit net bancaire a progressé de 10%, soutenu par la croissance notée sur toutes les lignes de revenus, commissions comme marge nette d’intérêts.
Le résultat brut d’exploitation est en hausse de 24% comparé à juin 2018 pour s’établir à 23,4 milliards FCFA. Les synergies attendues résultant de nos initiatives de consolidation de nos activités et d’optimisation de notre réseau continuent de porter leurs fruits.
Le résultat net du premier semestre 2019 s’établit à 2,8 milliards de FCFA, soit une baisse de 60% comparé au premier semestre 2018. Cette baisse est la conséquence de la hausse temporaire du coût net du risque expliqué par l’impact du nouveau modèle prospectif de dépréciation sous IFRS 9, ajoutent-ils.
Grâce à nos initiatives de mobilisation des ressources clientèle, nous avons enregistré une belle performance comparée à juin 2018, avec 219 milliards FCFA de dépôts additionnels collectés auprès de notre clientèle.
En perspectives, les dirigeants de Orabank soutiennent que dans le cadre de la stratégie de digitalisation, le Groupe a mis en production en juillet 2019 la deuxième phase du projet de digitalisation des services financiers permettant :
-D’offrir à notre clientèle des services innovants adaptés à leurs besoins ;
- D’affirmer encore plus notre engagement d’inclusion financière en ouvrant nos services aux populations non bancarisés ;
- D’élargir donc notre base clientèle dans nos pays de présence ;
- Et enfin, d’accroître la profitabilité. Enfin, de très belles transactions et de bonnes perspectives, notamment sur le recouvrement, permettent d’être optimistes pour la fin de l’année, en termes de création de valeur pour les actionnaires.
Oumar Nourou
Le résultat brut d’exploitation est en hausse de 24% comparé à juin 2018 pour s’établir à 23,4 milliards FCFA. Les synergies attendues résultant de nos initiatives de consolidation de nos activités et d’optimisation de notre réseau continuent de porter leurs fruits.
Le résultat net du premier semestre 2019 s’établit à 2,8 milliards de FCFA, soit une baisse de 60% comparé au premier semestre 2018. Cette baisse est la conséquence de la hausse temporaire du coût net du risque expliqué par l’impact du nouveau modèle prospectif de dépréciation sous IFRS 9, ajoutent-ils.
Grâce à nos initiatives de mobilisation des ressources clientèle, nous avons enregistré une belle performance comparée à juin 2018, avec 219 milliards FCFA de dépôts additionnels collectés auprès de notre clientèle.
En perspectives, les dirigeants de Orabank soutiennent que dans le cadre de la stratégie de digitalisation, le Groupe a mis en production en juillet 2019 la deuxième phase du projet de digitalisation des services financiers permettant :
-D’offrir à notre clientèle des services innovants adaptés à leurs besoins ;
- D’affirmer encore plus notre engagement d’inclusion financière en ouvrant nos services aux populations non bancarisés ;
- D’élargir donc notre base clientèle dans nos pays de présence ;
- Et enfin, d’accroître la profitabilité. Enfin, de très belles transactions et de bonnes perspectives, notamment sur le recouvrement, permettent d’être optimistes pour la fin de l’année, en termes de création de valeur pour les actionnaires.
Oumar Nourou