Pour la circonstance, le ministre de la Promotion de l’Investissement et du Secteur Privé, a lancé un appel pressant aux acteurs du secteurprivé afin qu’ils s’approprient du forum. «Il s’agit de votre forum», affirme Konimba Sidibé. Avant d’ajouter que des efforts ont été faits pour représenter le patronat et les opérateurs économiques dans les différentes commissions techniques composant le Comité de pilotage mis en place pour préparer le forum international Invest in Mali.
Selon lui, dans le dispositif, on dénombre une vingtaine de membres des organisations du secteur privé. « C’est encore une fois votre forum et c’est vous qui l’organisez », souligne-t-il, en précisant que deux commissions sur les trois sont présidées par des opérateurs du secteur privé. Le ministre a précisé que la démarche adoptée ne vise pas le seul investissement direct étranger. Malgré son importance, celui-ci ne peut pas écarter l’investissement national et les partenariats. Ce qui fait que l’un des objectifs de ce forum est de nouer des partenariats d’investissement. Pour le ministre, le forum doit atteindre des objectifs comme : changer le narratif sur le Mali, une meilleure connaissance des opportunités infiniment plus importantes qu’on ne peut l’imaginer, s’imprégner des filières porteuses et intéressantes, le cadre des affaires et attirer les capitaux.
Pour Konimba Sidibé, le forum est l’occasion de rassurer sur deux éléments qui sont pris en compte par tous les investisseurs, à savoir, la rentabilité et les risques. Au moins deux cents projets sont dans le pipeline du gouvernement et seront discutés lors du forum. Opérateurs et partenaires, au cours de rencontres b to b prévues tenteront de signer des partenariats autour des projets. Les domaines prioritaires pour l’investissement, sont l’agriculture, l’Industrie, les infrastructures et l’Energie..
Dans leurs interventions, certains opérateurs économiques ont évoqué, concernant le financement de l’agriculture, des aspects politiques qui empêchent d’obtenir les résultats escomptés de ces appuis (intrants agricoles, mécanisation, appuis techniques). Selon eux les banques de la place sont des banques commerciales et ne financent pas l’investissement.
Mahamane Maïga
Selon lui, dans le dispositif, on dénombre une vingtaine de membres des organisations du secteur privé. « C’est encore une fois votre forum et c’est vous qui l’organisez », souligne-t-il, en précisant que deux commissions sur les trois sont présidées par des opérateurs du secteur privé. Le ministre a précisé que la démarche adoptée ne vise pas le seul investissement direct étranger. Malgré son importance, celui-ci ne peut pas écarter l’investissement national et les partenariats. Ce qui fait que l’un des objectifs de ce forum est de nouer des partenariats d’investissement. Pour le ministre, le forum doit atteindre des objectifs comme : changer le narratif sur le Mali, une meilleure connaissance des opportunités infiniment plus importantes qu’on ne peut l’imaginer, s’imprégner des filières porteuses et intéressantes, le cadre des affaires et attirer les capitaux.
Pour Konimba Sidibé, le forum est l’occasion de rassurer sur deux éléments qui sont pris en compte par tous les investisseurs, à savoir, la rentabilité et les risques. Au moins deux cents projets sont dans le pipeline du gouvernement et seront discutés lors du forum. Opérateurs et partenaires, au cours de rencontres b to b prévues tenteront de signer des partenariats autour des projets. Les domaines prioritaires pour l’investissement, sont l’agriculture, l’Industrie, les infrastructures et l’Energie..
Dans leurs interventions, certains opérateurs économiques ont évoqué, concernant le financement de l’agriculture, des aspects politiques qui empêchent d’obtenir les résultats escomptés de ces appuis (intrants agricoles, mécanisation, appuis techniques). Selon eux les banques de la place sont des banques commerciales et ne financent pas l’investissement.
Mahamane Maïga