Selon lui, la stabilité politique, ainsi que les réformes structurelles et sectorielles d’envergure mises en œuvre au niveau macroéconomique, les ressources naturelles importantes révélées ou exploitées et les potentialités du capital humain font de l’Afrique un continent d’opportunités et d’avenir.
En d’autres termes, l’Afrique apparait chaque jour davantage comme la «Nouvelle frontière du développement», voire l’avenir de l’humanité. Notre continent dispose de nombreux atouts pour son développement. En effet, son sous-sol est extrêmement riche avec environ 30 % des réserves mondiales en minerais.
En plus, poursuit le vice-président de la Côte-d’Ivoire, lors du troisième forum Investir en Afrique, qui se déroule à Dakar la capitale sénégalaise, le continent dispose de 60 % des terres arables inexploitées, au monde, ainsi que de ressources humaines qui ne demandent qu’à être mise en valeur. En effet, dans un contexte mondial marqué par le vieillissement de la population des pays développés, la population africaine, avec 1,2 milliard d’habitants en 2016, et projetée à 2,5 milliards en 2050. Elle est surtout très jeune, avec 40% de la population qui a moins de 15 ans.
«Cette population constitue, certes une forte charge au départ, mais elle est aussi un véritable creuset d’intelligence et de main d’œuvre potentielle pour le futur du continent et même du monde, si elle est bien formée, en bonne santé et dotée du savoir-faire nécessaire, atout indéniable», indique-t-il.
Ismaila BA
En d’autres termes, l’Afrique apparait chaque jour davantage comme la «Nouvelle frontière du développement», voire l’avenir de l’humanité. Notre continent dispose de nombreux atouts pour son développement. En effet, son sous-sol est extrêmement riche avec environ 30 % des réserves mondiales en minerais.
En plus, poursuit le vice-président de la Côte-d’Ivoire, lors du troisième forum Investir en Afrique, qui se déroule à Dakar la capitale sénégalaise, le continent dispose de 60 % des terres arables inexploitées, au monde, ainsi que de ressources humaines qui ne demandent qu’à être mise en valeur. En effet, dans un contexte mondial marqué par le vieillissement de la population des pays développés, la population africaine, avec 1,2 milliard d’habitants en 2016, et projetée à 2,5 milliards en 2050. Elle est surtout très jeune, avec 40% de la population qui a moins de 15 ans.
«Cette population constitue, certes une forte charge au départ, mais elle est aussi un véritable creuset d’intelligence et de main d’œuvre potentielle pour le futur du continent et même du monde, si elle est bien formée, en bonne santé et dotée du savoir-faire nécessaire, atout indéniable», indique-t-il.
Ismaila BA