Dans son salut de bienvenue, le chef de l’Etat a salué la tenue de ce forum. « Une initiative qui célèbre l’entreprenariat et le dynamisme du secteur privé malien, tout en mettant en lumière le potentiel du Mali. Et qui je l’espère deviendra au fil du temps un véritable espace de dialogue, de partage et de proposition aux décideurs », s’est-t-il réjoui. Et d’ajouter : « Les professionnels se retrouvent pour discuter les potentialités économiques fabuleuses du Mali. Nouer des partenariats et ensemble envisager l’avenir « Heureux ceux qui ont le flair de l’intelligence de la pro activité ; qu’ils le comprendront ».
Pour lui, ce rendez-vous est aussi une réponse à l’une des préoccupations du moment, celle de la création d’emplois. « En cela, aucune jovialité ; tous les pays du monde sont aujourd’hui confrontés, hélas, avec plus ou moins d’acuité à ce problème là. Et nous africains et cela a été dit avec satiété il ya quelques jours seulement à Abidjan où nous étions en échange avec nos amis d’Europe, nous premiers partenaires au développement. Où nous avons fait le constat que l’Afrique nouvelle qui se dessine déjà est une Afrique très jeune Et que près de 60 % de nos populations sont entre 20 et 25 ans. Chacun a dit que c’était là un atout fabuleux ; mais qui peut être une bombe pourvu que ce soit le côté atout, que ce côté prenne le pas et domine, il le peut et il le pourra grâce à vous », a-t-il rappelé.
Aussi, il accorde plus de crédit à cette rencontre en ces termes : « quand je vois l’affluence, quand je vois l’intérêt accordé à ce Forum de Bamako, cet aréopage économique que je vois par devant moi, l’espoir est permis, que ces jeunes ont été compris, que la question de leur avenir est pris en charge ; qu’il sortira des pistes de réflexions de solutions qui conduiront à leur employabilité sinon à leur plein emploi »
Citant le ministre de la Promotion de l’Investissement et du Secteur privé, il soulève un cas de paradoxe. Pour lui, le Mali est le 2è producteur de coton en Afrique, mais notre pays transforme à peine 2% de sa production. « Ce n’est pas normal », regrette-t-il. Avant de s’exclamer de nouveau« Que d’emplois auront pu être créés par la filière textile, développée à souhait, que de transfert de moyens ; que de profit pour le paysan, mais cela est en train d’être changé par la nouvelle politique industrielle mise en œuvre et que nous suivons comme le lait sur le feu. Tel est l’intérêt ». Une rencontre telle la vôtre va y contribuer puissamment. Des partenariats seront noués, aussi des joint-adventure... »
Par ailleurs, le président de la République souligne l’opportunité d’organiser ce forum. « Notre rendez-vous est une réponse idoine à notre souhait de création des conditions d’emplois, de recul du chômage plus particulièrement pour nos jeunes, nos enfants, je crois fermement que lorsqu’on crée les conditions propices à l’essor du développement des entreprises privées, ces dernières constituent à terme des centres de profits et des viviers d’emplois pour le bonheur de toute la population malienne. Cela est avéré », explique-t-il. Avant de rendre un hommage appuyé à toues ces femmes et ces hommes qui s’investissent jour et nuit pour l’émergence du secteur privé fort et dynamique.
Mahamane Maïga
Pour lui, ce rendez-vous est aussi une réponse à l’une des préoccupations du moment, celle de la création d’emplois. « En cela, aucune jovialité ; tous les pays du monde sont aujourd’hui confrontés, hélas, avec plus ou moins d’acuité à ce problème là. Et nous africains et cela a été dit avec satiété il ya quelques jours seulement à Abidjan où nous étions en échange avec nos amis d’Europe, nous premiers partenaires au développement. Où nous avons fait le constat que l’Afrique nouvelle qui se dessine déjà est une Afrique très jeune Et que près de 60 % de nos populations sont entre 20 et 25 ans. Chacun a dit que c’était là un atout fabuleux ; mais qui peut être une bombe pourvu que ce soit le côté atout, que ce côté prenne le pas et domine, il le peut et il le pourra grâce à vous », a-t-il rappelé.
Aussi, il accorde plus de crédit à cette rencontre en ces termes : « quand je vois l’affluence, quand je vois l’intérêt accordé à ce Forum de Bamako, cet aréopage économique que je vois par devant moi, l’espoir est permis, que ces jeunes ont été compris, que la question de leur avenir est pris en charge ; qu’il sortira des pistes de réflexions de solutions qui conduiront à leur employabilité sinon à leur plein emploi »
Citant le ministre de la Promotion de l’Investissement et du Secteur privé, il soulève un cas de paradoxe. Pour lui, le Mali est le 2è producteur de coton en Afrique, mais notre pays transforme à peine 2% de sa production. « Ce n’est pas normal », regrette-t-il. Avant de s’exclamer de nouveau« Que d’emplois auront pu être créés par la filière textile, développée à souhait, que de transfert de moyens ; que de profit pour le paysan, mais cela est en train d’être changé par la nouvelle politique industrielle mise en œuvre et que nous suivons comme le lait sur le feu. Tel est l’intérêt ». Une rencontre telle la vôtre va y contribuer puissamment. Des partenariats seront noués, aussi des joint-adventure... »
Par ailleurs, le président de la République souligne l’opportunité d’organiser ce forum. « Notre rendez-vous est une réponse idoine à notre souhait de création des conditions d’emplois, de recul du chômage plus particulièrement pour nos jeunes, nos enfants, je crois fermement que lorsqu’on crée les conditions propices à l’essor du développement des entreprises privées, ces dernières constituent à terme des centres de profits et des viviers d’emplois pour le bonheur de toute la population malienne. Cela est avéré », explique-t-il. Avant de rendre un hommage appuyé à toues ces femmes et ces hommes qui s’investissent jour et nuit pour l’émergence du secteur privé fort et dynamique.
Mahamane Maïga