Selon lui, les questions économiques et financières sont parfois réservées à une certaine élite, les réponses qui en résultent ne peuvent avoir d’effets escomptés, qu’à travers un système de communication prenant en compte votre cœur de métier qu’est le journalisme.
« Les systèmes d’information et plus particulièrement, l’information économique et financière a progressé, à l’échelle mondiale, dans un contexte où les frontières ne sont que virtuelles, avec le développement de la technologie », a indiqué le ministre Adama Koné.
En particulier, a-t-il précisé, les questions économiques, et surtout celles liées à nos richesses sont au cœur des préoccupations de nos populations qui méritent d’en savoir plus.
« Le renforcement des capacités des professionnels des médias, qui constituent le trait d’union entre nos institutions et les populations, s’avère donc crucial pour qu’ils puissent poser un regard neuf sur la recherche, l’exploitation, la gestion et la redistribution de nos ressources, et aussi sur les questions économiques en général », a-t-il ajouté.
En effet, pour mieux informer les populations, le ministre Koné pense qu’il faut allier savoir-faire et connaissances précises et c’est tout l’enjeu de cette session de formation, à savoir accompagner les efforts que fournissent les femmes et les hommes des médias, que vous êtes, pour mettre à la disposition du public l’information vraie et utile.
« Au regard des enjeux et des défis actuels, nos médias n’ont pas le droit de décevoir. Nous devons avoir une presse à la hauteur de nos ambitions qui obéissent aux normes et standards de qualité, de performance et d’efficacité », souligne le ministre de l’Economie et des Finances.
A cet égard, les journalistes en général et ceux évoluant dans le secteur économique en particulier, doivent rendre les articles plus digestes pour les lecteurs et auditeurs en communiquant en des termes simples et compréhensibles, conseille-t-il. .
« Or l’information économique, qui doit être accessible à tout le monde, apparait très complexe à certains égards. Notre sous-région, au regard de son potentiel, peut et doit avoir une presse performante, viable, crédible et respectée conformément à l’éthique et à la déontologie qui caractérise votre profession », dit-il.
Visiblement préoccupé, il fait savoir que l'une des priorités du Gouvernement ivoirien est d’accompagner efficacement ces journalistes dans cette quête de performance.
Mahamane Maïga, Envoyé spécial à Abidjan
« Les systèmes d’information et plus particulièrement, l’information économique et financière a progressé, à l’échelle mondiale, dans un contexte où les frontières ne sont que virtuelles, avec le développement de la technologie », a indiqué le ministre Adama Koné.
En particulier, a-t-il précisé, les questions économiques, et surtout celles liées à nos richesses sont au cœur des préoccupations de nos populations qui méritent d’en savoir plus.
« Le renforcement des capacités des professionnels des médias, qui constituent le trait d’union entre nos institutions et les populations, s’avère donc crucial pour qu’ils puissent poser un regard neuf sur la recherche, l’exploitation, la gestion et la redistribution de nos ressources, et aussi sur les questions économiques en général », a-t-il ajouté.
En effet, pour mieux informer les populations, le ministre Koné pense qu’il faut allier savoir-faire et connaissances précises et c’est tout l’enjeu de cette session de formation, à savoir accompagner les efforts que fournissent les femmes et les hommes des médias, que vous êtes, pour mettre à la disposition du public l’information vraie et utile.
« Au regard des enjeux et des défis actuels, nos médias n’ont pas le droit de décevoir. Nous devons avoir une presse à la hauteur de nos ambitions qui obéissent aux normes et standards de qualité, de performance et d’efficacité », souligne le ministre de l’Economie et des Finances.
A cet égard, les journalistes en général et ceux évoluant dans le secteur économique en particulier, doivent rendre les articles plus digestes pour les lecteurs et auditeurs en communiquant en des termes simples et compréhensibles, conseille-t-il. .
« Or l’information économique, qui doit être accessible à tout le monde, apparait très complexe à certains égards. Notre sous-région, au regard de son potentiel, peut et doit avoir une presse performante, viable, crédible et respectée conformément à l’éthique et à la déontologie qui caractérise votre profession », dit-il.
Visiblement préoccupé, il fait savoir que l'une des priorités du Gouvernement ivoirien est d’accompagner efficacement ces journalistes dans cette quête de performance.
Mahamane Maïga, Envoyé spécial à Abidjan