Selon les initiateurs, le dialogue structuré du FVC est le deuxième du genre, après celui tenu en Afrique du Sud en 2016. Il offre l’opportunité aux parties prenantes de discuter des facilités d’échanges et d’apprentissage en vue d’améliorer la qualité du processus de programmation et d’obtenir de solides résultats à court, moyen et long termes dans le cadre du développement durable.
Il consiste aussi et, surtout, à travers cette rencontre continentale, à offrir aux responsables africains l’occasion de partager les points de vue et les expériences de leurs pays respectifs sur le changement de paradigme vers un développement durable à faibles émissions et résilients aux affres du climat.
Il est aussi question d’accroître davantage la compréhension du Fonds par les autorités nationales désignées et les points focaux et procéder à des mises à jour sur les derniers développements des Contributions déterminées au niveau national (CDN) et la planification de l’adaptation.
La rencontre a permis, par ailleurs, de s’appuyer sur la feuille de route et le plan d’actions élaboré pour l’Afrique en engageant les entités accréditées et le Fonds vert pour assurer une articulation des propositions de financements concrètes avec des impacts significatifs et visibles. Grâce à l’aide des experts, les pays africains ont pu identifier les entités accréditées et autres partenaires qui soutiendront la conception et la mise en œuvre des propositions de financement pour le Fonds vert.
Le dialogue structuré de Bamako a contribué à approfondir la compréhension des besoins des pays et à faire le point sur les progrès réalisés. Se réjouissant de la qualité des débats, des discussions et de partage d’expériences autour de la problématique des changements climatiques, le directeur exécutif du FVC, Howard Bamsey a salué l’engagement des autorités maliennes.
Mahamane Maïga
Il consiste aussi et, surtout, à travers cette rencontre continentale, à offrir aux responsables africains l’occasion de partager les points de vue et les expériences de leurs pays respectifs sur le changement de paradigme vers un développement durable à faibles émissions et résilients aux affres du climat.
Il est aussi question d’accroître davantage la compréhension du Fonds par les autorités nationales désignées et les points focaux et procéder à des mises à jour sur les derniers développements des Contributions déterminées au niveau national (CDN) et la planification de l’adaptation.
La rencontre a permis, par ailleurs, de s’appuyer sur la feuille de route et le plan d’actions élaboré pour l’Afrique en engageant les entités accréditées et le Fonds vert pour assurer une articulation des propositions de financements concrètes avec des impacts significatifs et visibles. Grâce à l’aide des experts, les pays africains ont pu identifier les entités accréditées et autres partenaires qui soutiendront la conception et la mise en œuvre des propositions de financement pour le Fonds vert.
Le dialogue structuré de Bamako a contribué à approfondir la compréhension des besoins des pays et à faire le point sur les progrès réalisés. Se réjouissant de la qualité des débats, des discussions et de partage d’expériences autour de la problématique des changements climatiques, le directeur exécutif du FVC, Howard Bamsey a salué l’engagement des autorités maliennes.
Mahamane Maïga