Fort préoccupée, la ministre verte a souligné la problématique liée aux changements climatiques qui constituent de nos jours un des défis majeurs pour le développement-socio-économique de tous les pays. « Les pays en développement, comme le Mali, sont particulièrement fragiles et exposés aux risques changements climatiques, en raison de la faiblesse de leur capital humain et de leur vulnérabilité économique », a argué Mme Keïta Aïda M’Bo.
« En effet, il ressort des différentes études menées sur les changements climatiques au Mali, que les principaux risques climatiques auxquels notre pays est exposé sont entre autres : les sécheresses, les inondations, les vents forts et les fortes variations de température, etc. », a-t-elle expliqué. Avant de rappeler les jalons posés par notre pays afin de lutter contre les changements climatiques.
S’adressant aux participants, elle a fait savoir : « le plan d’investissement -programme pays - qui vous est soumis, certes ambitieux , a l’avantage d’avoir fait une analyse exhaustive de la situation de notre pays et sa mise en œuvre devrait nous permettre d’atteindre les objectifs de transformation d’une économie verte et résiliente aux changements climatiques, mais aussi de servir d’outils de mobilisation des financements tant au niveau national auprès de nos partenaires bilatéraux et multilatéraux qu’au niveau régional ».
Selon elle, le plan d’investissement « programme pays » permettra également de communiquer aux instances internationales les produits de notre pays en termes d’investissement d’une part et d’indiquer nos objectifs prioritaires aux entités accréditées auprès du Fonds vert pour le climat.
Mme Keïta Aïda M’Bo a fait savoir que le Mali fait partie des premiers pays ayant bénéficié du financement du Fonds vert pour le climat à travers le « Projet d’investissement multisectoriel pour l’adaptation et la gestion des risques climatiques au Mali », pour un montant de 22, 8 millions de dollars US.
Mahamane Maïga
« En effet, il ressort des différentes études menées sur les changements climatiques au Mali, que les principaux risques climatiques auxquels notre pays est exposé sont entre autres : les sécheresses, les inondations, les vents forts et les fortes variations de température, etc. », a-t-elle expliqué. Avant de rappeler les jalons posés par notre pays afin de lutter contre les changements climatiques.
S’adressant aux participants, elle a fait savoir : « le plan d’investissement -programme pays - qui vous est soumis, certes ambitieux , a l’avantage d’avoir fait une analyse exhaustive de la situation de notre pays et sa mise en œuvre devrait nous permettre d’atteindre les objectifs de transformation d’une économie verte et résiliente aux changements climatiques, mais aussi de servir d’outils de mobilisation des financements tant au niveau national auprès de nos partenaires bilatéraux et multilatéraux qu’au niveau régional ».
Selon elle, le plan d’investissement « programme pays » permettra également de communiquer aux instances internationales les produits de notre pays en termes d’investissement d’une part et d’indiquer nos objectifs prioritaires aux entités accréditées auprès du Fonds vert pour le climat.
Mme Keïta Aïda M’Bo a fait savoir que le Mali fait partie des premiers pays ayant bénéficié du financement du Fonds vert pour le climat à travers le « Projet d’investissement multisectoriel pour l’adaptation et la gestion des risques climatiques au Mali », pour un montant de 22, 8 millions de dollars US.
Mahamane Maïga