La rencontre de Bamako a permis d’explorer en profondeur la problématique du changement climatique afin de mieux soutenir les Etats à faire face aux effets néfastes. Selon Howard Bamsey, cette réunion est bénéfique car après la tenue de la première, le Fonds vert a triplé les engagements vers l’Afrique. Ainsi le Fonds a débloqué pour l’Afrique 900 millions de dollars pour 28 projets.
Le fonds Vert pour le climat est basé en Corée du Sud. Il finance des projets d’ordre climatique et à Bamako les acteurs attendent une proposition de plus de 10 milliards de dollars de portefeuille soit 5 mille milliards de F CFA, « 4 milliards de projets présentés il y a deux ans, 900 millions ont été financés par le fonds et le programme de travail continue », a dit Howard Bamsey.
Le patron du FVC a expliqué les missions de son organisation. Fruit d’un consensus réunissant 194 gouvernements et lancé fin 2011, le FVC est le mécanisme financier de la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques. Il a pour objectifs de limiter ou de réduire les émissions de gaz à effet de serre dans les pays en développement et d’aider les communautés vulnérables à s’adapter aux impacts déjà ressentis des changements climatiques. Il entend apporter, également, une contribution ambitieuse à la réalisation des objectifs d’atténuation et d’adaptation de la communauté internationale, dans le but de maintenir l’élévation moyenne de la température de la planète en dessous de 2°C.
Tous les pays en développement, qui sont des Parties à la Convention, sont éligibles à un financement du FVC. «A travers cette rencontre, il est question d’explorer en profondeur la problématique du changement climatique afin de mieux soutenir les Etats à faire face aux effets néfastes» a souligné Howard Bamsey.
Mahamane Maïga
Le fonds Vert pour le climat est basé en Corée du Sud. Il finance des projets d’ordre climatique et à Bamako les acteurs attendent une proposition de plus de 10 milliards de dollars de portefeuille soit 5 mille milliards de F CFA, « 4 milliards de projets présentés il y a deux ans, 900 millions ont été financés par le fonds et le programme de travail continue », a dit Howard Bamsey.
Le patron du FVC a expliqué les missions de son organisation. Fruit d’un consensus réunissant 194 gouvernements et lancé fin 2011, le FVC est le mécanisme financier de la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques. Il a pour objectifs de limiter ou de réduire les émissions de gaz à effet de serre dans les pays en développement et d’aider les communautés vulnérables à s’adapter aux impacts déjà ressentis des changements climatiques. Il entend apporter, également, une contribution ambitieuse à la réalisation des objectifs d’atténuation et d’adaptation de la communauté internationale, dans le but de maintenir l’élévation moyenne de la température de la planète en dessous de 2°C.
Tous les pays en développement, qui sont des Parties à la Convention, sont éligibles à un financement du FVC. «A travers cette rencontre, il est question d’explorer en profondeur la problématique du changement climatique afin de mieux soutenir les Etats à faire face aux effets néfastes» a souligné Howard Bamsey.
Mahamane Maïga