La cérémonie d’ouverture était présidée par le 1ier adjoint au Maire de la Commune Urbaine de San. Il était accompagné par les formateurs de la Direction Générale de la Protection Civile (DGPC), les commandants Sinali Berthé et Amadou Ibrahim Guindo.
Le 1er adjoint au Maire de San a salué l’organisation de cette session de formation à l’intention des journalistes et des communicateurs traditionnels de sa Commune. Il estime que cette formation contribuera à améliorer les pratiques traditionnelles existantes pendant les deux années d’exercice du projet Sandjiko (2015-2017).
Le Commandant Amadou Ibrahim Guindo a signalé que le Mali est un vaste pays continental présentant trois zones écologiques distinctes. Pour lui, cette situation explique en partie la vulnérabilité du pays aux chocs exogènes et l’expose aux risques des catastrophes d’origine naturelle notamment les inondations, les invasions acridiennes, les accidents de circulation et les mouvements des populations. Le Commandant Sinali Berthé a insisté sur les causes des inondations. Elles sont généralement dues aux débordements et aux crues des fleuves et cours d’eau, mais aussi à la défaillance des systèmes de drainage.
Selon les données, en 2010, les inondations ont provoqué près de 111 décès, 6 052 habitations détruites, 12 000 ha de champs inondés et la destruction de routes et de ponts.
«Si en 2003, les inondations ont affecté près de 10 000 personnes, en 2007 elles ont affecté près de 88 000 personnes. Elles frappent principalement les zones se trouvant dans le Delta intérieur du fleuve Niger», a précisé le Commandant Sinali Berthé.
Flani SORA
Le 1er adjoint au Maire de San a salué l’organisation de cette session de formation à l’intention des journalistes et des communicateurs traditionnels de sa Commune. Il estime que cette formation contribuera à améliorer les pratiques traditionnelles existantes pendant les deux années d’exercice du projet Sandjiko (2015-2017).
Le Commandant Amadou Ibrahim Guindo a signalé que le Mali est un vaste pays continental présentant trois zones écologiques distinctes. Pour lui, cette situation explique en partie la vulnérabilité du pays aux chocs exogènes et l’expose aux risques des catastrophes d’origine naturelle notamment les inondations, les invasions acridiennes, les accidents de circulation et les mouvements des populations. Le Commandant Sinali Berthé a insisté sur les causes des inondations. Elles sont généralement dues aux débordements et aux crues des fleuves et cours d’eau, mais aussi à la défaillance des systèmes de drainage.
Selon les données, en 2010, les inondations ont provoqué près de 111 décès, 6 052 habitations détruites, 12 000 ha de champs inondés et la destruction de routes et de ponts.
«Si en 2003, les inondations ont affecté près de 10 000 personnes, en 2007 elles ont affecté près de 88 000 personnes. Elles frappent principalement les zones se trouvant dans le Delta intérieur du fleuve Niger», a précisé le Commandant Sinali Berthé.
Flani SORA