Selon un communiqué de la banque africaine de développement (Bad), cette nouvelle transaction est la deuxième obligation globale de référence en dollars de l’année 2018 émise par la Banque, après l’émission obligataire de référence de 2 milliards de dollars à 3 ans exécutée en mars 2018. Avec cette nouvelle obligation, la Banque poursuit la stratégie de son programme d’emprunt consistant à réaliser des transactions plus importantes et plus liquides. «La Banque africaine de développement a levé à ce jour 6,9 milliards de dollars environ sur les marchés de capitaux, soit 86 % de son programme d’emprunt pour 2018. La transaction a reçu un accueil très positif avec un carnet d’ordres excédant 3,4 milliards de dollars et battant le record historique du plus grand carnet d’ordres jamais atteint par la Banque pour une obligation globale de référence de 5 ans », informe la Bad. Elle précise que plus de 90 investisseurs ont participé à la transaction, dont 19 nouveaux investisseurs
mondiaux, reflétant un placement diversifié sur le plan géographique et par type d’investisseurs. La Bad dit avoir choisi de tirer parti d’un environnement de marché positif et de l’élargissement des swap spreads pour émettre sa deuxième obligation de référence de l’année et figurer parmi les premiers émetteurs à cibler le segment de 5 ans de la courbe post-estivale. «La transaction a été très rapidement et favorablement accueillie dès son lancement par les investisseurs avec des indications d’intérêts excédant 2,6 milliards de dollars. Le carnet d’ordres a officiellement ouvert à 8 h, heure de Londres, avec un prix d’émission indicatif à mid-swap plus 6 points de base, révisé à 1 point de base en dessous de l’indication initiale de prix, reflétant la forte progression de la transaction », renseigne le
document.
Hassatou Diop N’Sele, trésorière du Groupe de la Bad, se réjouit de l’intérêt suscité par cet emprunt obligataire de référence, et plus particulièrement de la demande extrêmement forte des investisseurs de qualité, notamment celle des banques centrales, ainsi que de l’engagement d’un grand nombre de nouveaux investisseurs dans cette opération. «Nous avons été en mesure de resserrer notre prix de départ, et cette obligation bénéficie aujourd’hui d’une très belle performance sur le marché secondaire. Le succès de cette obligation de référence à 5 ans intervient une semaine après que la Banque africaine
de développement s’est vue décerner le titre de “Deuxième émetteur le plus impressionnant d’emprunts obligataires sociaux ou durables », a ajouté Mme N’Sele.
Adou Faye
mondiaux, reflétant un placement diversifié sur le plan géographique et par type d’investisseurs. La Bad dit avoir choisi de tirer parti d’un environnement de marché positif et de l’élargissement des swap spreads pour émettre sa deuxième obligation de référence de l’année et figurer parmi les premiers émetteurs à cibler le segment de 5 ans de la courbe post-estivale. «La transaction a été très rapidement et favorablement accueillie dès son lancement par les investisseurs avec des indications d’intérêts excédant 2,6 milliards de dollars. Le carnet d’ordres a officiellement ouvert à 8 h, heure de Londres, avec un prix d’émission indicatif à mid-swap plus 6 points de base, révisé à 1 point de base en dessous de l’indication initiale de prix, reflétant la forte progression de la transaction », renseigne le
document.
Hassatou Diop N’Sele, trésorière du Groupe de la Bad, se réjouit de l’intérêt suscité par cet emprunt obligataire de référence, et plus particulièrement de la demande extrêmement forte des investisseurs de qualité, notamment celle des banques centrales, ainsi que de l’engagement d’un grand nombre de nouveaux investisseurs dans cette opération. «Nous avons été en mesure de resserrer notre prix de départ, et cette obligation bénéficie aujourd’hui d’une très belle performance sur le marché secondaire. Le succès de cette obligation de référence à 5 ans intervient une semaine après que la Banque africaine
de développement s’est vue décerner le titre de “Deuxième émetteur le plus impressionnant d’emprunts obligataires sociaux ou durables », a ajouté Mme N’Sele.
Adou Faye