Le PROCEJ s’articule autour de trois composantes : l’éducation et la formation pour l’employabilité, la création d’emplois par le secteur privé pour les jeunes et le renforcement des capacités institutionnelles et la gestion de projet.
Depuis son entame, des appels à candidature ont été lancés sur toute l’étendue du territoire, y compris Kidal. Après une sélection de dossiers, l’étape formation s’en est suivie.
Concrètement, il s’agit de faire la promotion de l’entreprenariat auprès des jeunes déscolarisés peu ou pas diplômés. Cette mission est confiée à l’Agence pour la promotion de l’emploi des jeunes (APEJ).
Pour atteindre ces objectifs, l’APEJ et le PROCEJ misent sur la formation. Un premier niveau de formation sera consacré à la sensibilisation et à la formation à l’entreprenariat. Il concerne 10 000 jeunes dont au moins 40% de femmes. Le second niveau de formation concernera 60% des 10 000 jeunes et sera axé sur une formation approfondie en entreprenariat et à l’encadrement pour l’élaboration de plans d’affaires simplifiés.
A travers ces formations, les jeunes seront appelés à mettre en pratique les connaissances apprises en créant leurs propres entreprises, mais aussi en créant de l’emploi pour d’autres jeunes. Au cours de l’année 2016, 3 000 jeunes ont été formés et 1 800 ont suivi la formation approfondie en entreprenariat. Ces jeunes formés ont eu à élaborer un plan d’affaire simplifié qui a été apprécié par le formateur, puis en atelier régional et enfin au niveau national lors d’un atelier convoqué à cet effet.
Sur cette lancée, à Bamako, 239 jeunes bénéficiaires de la troisième vague du programme ont reçu un kit de démarrage d’un montant de 300 000 francs CFA sous forme de subvention dans des secteurs tels que la transformation agro alimentaire, la cordonnerie, l’aviculture, la teinture, entre autres.
Mimi Azoumi
Depuis son entame, des appels à candidature ont été lancés sur toute l’étendue du territoire, y compris Kidal. Après une sélection de dossiers, l’étape formation s’en est suivie.
Concrètement, il s’agit de faire la promotion de l’entreprenariat auprès des jeunes déscolarisés peu ou pas diplômés. Cette mission est confiée à l’Agence pour la promotion de l’emploi des jeunes (APEJ).
Pour atteindre ces objectifs, l’APEJ et le PROCEJ misent sur la formation. Un premier niveau de formation sera consacré à la sensibilisation et à la formation à l’entreprenariat. Il concerne 10 000 jeunes dont au moins 40% de femmes. Le second niveau de formation concernera 60% des 10 000 jeunes et sera axé sur une formation approfondie en entreprenariat et à l’encadrement pour l’élaboration de plans d’affaires simplifiés.
A travers ces formations, les jeunes seront appelés à mettre en pratique les connaissances apprises en créant leurs propres entreprises, mais aussi en créant de l’emploi pour d’autres jeunes. Au cours de l’année 2016, 3 000 jeunes ont été formés et 1 800 ont suivi la formation approfondie en entreprenariat. Ces jeunes formés ont eu à élaborer un plan d’affaire simplifié qui a été apprécié par le formateur, puis en atelier régional et enfin au niveau national lors d’un atelier convoqué à cet effet.
Sur cette lancée, à Bamako, 239 jeunes bénéficiaires de la troisième vague du programme ont reçu un kit de démarrage d’un montant de 300 000 francs CFA sous forme de subvention dans des secteurs tels que la transformation agro alimentaire, la cordonnerie, l’aviculture, la teinture, entre autres.
Mimi Azoumi