Selon le directeur général de l’ANPE, ce point de presse sur l’exécution des activités du Pta 2018, « vise à informer les acteurs du marché de l’emploi (employeurs, usagers) et de façon générale la population sur les différentes réalisations en termes de création et de promotion d’emploi par l’ANPE », a-t-il dit. Poursuivant il ajoute que , : « le dispositif de formation continue comprenant le Centre de perfectionnement et de reconversion (CPR) et l’Atelier école de Kayes (Aek) permet la consolidation des emplois au moyen de la formation ».
Au sujet du bilan réalisé, il a indiqué qu’au cours du premier semestre 2018, l’ANPE a enregistré 3 180 demandes d’emploi dont 743 pour les femmes et 2 229 offres. Et pendant la même période, la structure a effectué 728 placements dont 196 femmes.
« Le PTA 2018 à mi-parcours dans le cadre de l’auto-emploi a permis la formation-insertion des groupements de femmes et des personnes en situation de handicap dans des domaines variés comme le maraichage, la saponification et l’agro-alimentaire », a-t-il souligné.
Quant à la représentativité de la structure sur l’ensemble, il fait savoir que l’ANPE est présente dans les régions nouvellement créées, notamment à Taoudéni et Ménaka.
A propos du suivi des projets, il a invité les porteurs de projet à acquitter les créances afin de permettre à d’autres demandeurs d’accéder au financement. “Sur plus d’une décennie, nous avons des arriérés de plus deux milliards de FCFA. Nous devons mettre en place un mécanisme de recouvrement des créances “, a-t-il dit.
Mahamane Maïga
Au sujet du bilan réalisé, il a indiqué qu’au cours du premier semestre 2018, l’ANPE a enregistré 3 180 demandes d’emploi dont 743 pour les femmes et 2 229 offres. Et pendant la même période, la structure a effectué 728 placements dont 196 femmes.
« Le PTA 2018 à mi-parcours dans le cadre de l’auto-emploi a permis la formation-insertion des groupements de femmes et des personnes en situation de handicap dans des domaines variés comme le maraichage, la saponification et l’agro-alimentaire », a-t-il souligné.
Quant à la représentativité de la structure sur l’ensemble, il fait savoir que l’ANPE est présente dans les régions nouvellement créées, notamment à Taoudéni et Ménaka.
A propos du suivi des projets, il a invité les porteurs de projet à acquitter les créances afin de permettre à d’autres demandeurs d’accéder au financement. “Sur plus d’une décennie, nous avons des arriérés de plus deux milliards de FCFA. Nous devons mettre en place un mécanisme de recouvrement des créances “, a-t-il dit.
Mahamane Maïga