Pour relever le défi de promouvoir les énergies renouvelables, l’ONG Mali Folk Center et son partenaire AER-Mali ont mis en place un programme de formation. C’est ainsi qu’un atelier de deux jours a été organisé à Bamako pour renforcer les capacités des membres de la Coalition. Il s’agissait de mieux outiller les participants sur des concepts clefs, afin de mener une campagne de plaidoyer efficace pour un meilleur accès des populations vulnérables aux énergies renouvelables. Aussi, s’y ajoute la nécessité de susciter l’accélération de la mise en œuvre des documents de politiques et de stratégies en matière d’énergies renouvelables adoptés par notre pays.
Cette session de formation a regroupé les représentants des services techniques de l’Etat, du Secteur privé, de la Société civile, des Partenaires techniques et financiers ainsi que des médias. Pour la circonstance, plusieurs modules en lien au Plan d’action annuel de la coalition. Il s’agit notamment de la distorsion de la gestion des déchets technologiques en fin de vie ; du prix de l’électricité en milieu rural et urbain ; la promotion des emplois verts et l’entrepreneuriat des jeunes ; la restitution des résultats de la COP 23 sur le climat.
Le choix de ces modules faut-il le rappeler est inspiré des recommandations des membres et la réflexion menée lors de précédents ateliers ayant regroupé les membres de la coalition.
« Malheureusement l’application de ces différents documents ne progresse pas au même rythme et à hauteur de souhait au niveau des Etats membres et ces documents restent méconnus par la population et même par certains acteurs du domaine » a déploré le chef de la section solaire photovoltaïque de l’AER-Mali.
Mahamane Maïga
Cette session de formation a regroupé les représentants des services techniques de l’Etat, du Secteur privé, de la Société civile, des Partenaires techniques et financiers ainsi que des médias. Pour la circonstance, plusieurs modules en lien au Plan d’action annuel de la coalition. Il s’agit notamment de la distorsion de la gestion des déchets technologiques en fin de vie ; du prix de l’électricité en milieu rural et urbain ; la promotion des emplois verts et l’entrepreneuriat des jeunes ; la restitution des résultats de la COP 23 sur le climat.
Le choix de ces modules faut-il le rappeler est inspiré des recommandations des membres et la réflexion menée lors de précédents ateliers ayant regroupé les membres de la coalition.
« Malheureusement l’application de ces différents documents ne progresse pas au même rythme et à hauteur de souhait au niveau des Etats membres et ces documents restent méconnus par la population et même par certains acteurs du domaine » a déploré le chef de la section solaire photovoltaïque de l’AER-Mali.
Mahamane Maïga