Le ministre de l’Economie numérique et de la Communication, Arouna Modibo Touré a indiqué que le gouvernement place de grands espoirs dans le démarrage des activités de ce troisième opérateur. Il a expliqué qu’« en matière de téléphonie, le Mali est resté longtemps en situation de duopole».
Selon lui, le souhait du gouvernement à travers la mise en route d’Atel-SA, est d’avoir plus de concurrence sur le marché télécoms national qui suscitera une amélioration des services et une baisse des coûts, la création d’emplois directs et indirects, la création de nouvelles ressources financières pour le trésor public.
Cette nouvelle société à une capacité de 5000 000 d’abonnés pour un coût d’investissement de 100 milliards de FCFA. Selon le ministre Touré, les activités de cette nouvelle société permettront de créer des emplois pour la jeunesse malienne. « L’arrivée de cet opérateur est tant attendue au Mali. Elle créera des emplois au Mali, le trésor public aura un peu plus de ressources, ainsi que le fond d’accès universel », a espéré le ministre.
Mahamane Maïga
Selon lui, le souhait du gouvernement à travers la mise en route d’Atel-SA, est d’avoir plus de concurrence sur le marché télécoms national qui suscitera une amélioration des services et une baisse des coûts, la création d’emplois directs et indirects, la création de nouvelles ressources financières pour le trésor public.
Cette nouvelle société à une capacité de 5000 000 d’abonnés pour un coût d’investissement de 100 milliards de FCFA. Selon le ministre Touré, les activités de cette nouvelle société permettront de créer des emplois pour la jeunesse malienne. « L’arrivée de cet opérateur est tant attendue au Mali. Elle créera des emplois au Mali, le trésor public aura un peu plus de ressources, ainsi que le fond d’accès universel », a espéré le ministre.
Mahamane Maïga