Selon ce rapport, « sur les 16 vérifications financières et de conformité effectuées en 2015, le montant total des irrégularités financières s’élève à 70,10 milliards de FCFA dont 32,63 milliards de FCFA au titre de la fraude et 37,43 milliards de FCFA au titre de la mauvaise gestion ».
En dépit de ces malversations financières, le président de la République a posé des actes en termes de développement économique. Lesquels concernent quatre secteurs clés du développement: l’énergie et l’eau ; l’économie ; les infrastructures et le dialogue social ; l’habitat, le foncier et le domaine.
Sans doute, des progrès notables ont été réalisés durant les quatre ans du président Ibrahim Boubacar Keïta(IBK). En effet, notre pays demeure la 3è économie de la zone UEMOA, après la Côte d’Ivoire et le Sénégal. Des centaines de milliards ont été investis afin de permettre à nos concitoyens de disposer de l’eau potable à travers tout le pays.
Cela s’inscrit dans le vaste le Programme présidentiel d’urgences sociales, axé sur des projets touchant les couches défavorisées de notre pays.
En 2014, « il a décidé d’allouer 15% du budget national à l’agriculture afin de rehausser le PIB et de faire du Mali la 3è économie de l’UEMOA. Puis, il a ouvert le chanter du désenclavement, avec la particularité de financer ces travaux sur le budget national ».
Au-delà de ces réalisations, il revient au président IBK de renforcer les dispositifs de contrôle interne pour mettre fin aux malversations financières au niveau des services publics.
Mahamane Maïga
En dépit de ces malversations financières, le président de la République a posé des actes en termes de développement économique. Lesquels concernent quatre secteurs clés du développement: l’énergie et l’eau ; l’économie ; les infrastructures et le dialogue social ; l’habitat, le foncier et le domaine.
Sans doute, des progrès notables ont été réalisés durant les quatre ans du président Ibrahim Boubacar Keïta(IBK). En effet, notre pays demeure la 3è économie de la zone UEMOA, après la Côte d’Ivoire et le Sénégal. Des centaines de milliards ont été investis afin de permettre à nos concitoyens de disposer de l’eau potable à travers tout le pays.
Cela s’inscrit dans le vaste le Programme présidentiel d’urgences sociales, axé sur des projets touchant les couches défavorisées de notre pays.
En 2014, « il a décidé d’allouer 15% du budget national à l’agriculture afin de rehausser le PIB et de faire du Mali la 3è économie de l’UEMOA. Puis, il a ouvert le chanter du désenclavement, avec la particularité de financer ces travaux sur le budget national ».
Au-delà de ces réalisations, il revient au président IBK de renforcer les dispositifs de contrôle interne pour mettre fin aux malversations financières au niveau des services publics.
Mahamane Maïga