Selon le ministre de l’Economie et des Finances, le Mali ambitionne dans un scénario volontariste d’atteindre un taux de croissance moyen de 6% dans les années à venir. Dr. Boubou Cissé précise que cet objectif s’appuie sur le maintien et le renforcement de la stabilité macroéconomique et une politique budgétaire prudente ; l’amélioration de la gouvernance, la poursuite des reformes.
Pour la réalisation de cet objectif, poursuit-il, le gouvernement mettra un accent particulier sur le développement de l’agriculture, la poursuite du programme d’expansion des infrastructures de base ; le développement du secteur privé ; l’accroissement de l’investissement dans les ressources humaines.
En outre, il dira que la mise en œuvre de cette stratégie se fera en adéquation avec la préservation des équilibres macroéconomiques, la modernisation de la gestion des finances publiques et l’accélération des reformes structurelles nécessaires à la consolidation de la croissance économique.
En dépit de l’impact négatif de la crise politico-sécuritaire et institutionnelle, il s’agira de poursuivre la mise en œuvre de grands programmes et projets de développement économiques et des reformes structurelles nécessaires à la stabilité du cadre macroéconomique.
Mahamane Maïga
Pour la réalisation de cet objectif, poursuit-il, le gouvernement mettra un accent particulier sur le développement de l’agriculture, la poursuite du programme d’expansion des infrastructures de base ; le développement du secteur privé ; l’accroissement de l’investissement dans les ressources humaines.
En outre, il dira que la mise en œuvre de cette stratégie se fera en adéquation avec la préservation des équilibres macroéconomiques, la modernisation de la gestion des finances publiques et l’accélération des reformes structurelles nécessaires à la consolidation de la croissance économique.
En dépit de l’impact négatif de la crise politico-sécuritaire et institutionnelle, il s’agira de poursuivre la mise en œuvre de grands programmes et projets de développement économiques et des reformes structurelles nécessaires à la stabilité du cadre macroéconomique.
Mahamane Maïga