Avant la 24ème session de la Conférence des parties (COP 24) de la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques (CCNUCC), qui se tiendra du 2 au 14 décembre 2018, à Katowice, en Pologne, le Responsable de ACPC, James Murombedzi, déclare que les CDN sont importantes et au cœur de l’Accord de Paris.
«La CEA est fermement résolue à aider les États membres en ce qui concerne les CDN, prenant en compte la nécessité d’une action climatique urgente et adéquate, tout en maintenant le cap sur la réalisation des objectifs de l’Agenda 2063 et des Objectifs de développement durable», dit-il.
Murombedzi indique que la septième Conférence sur le changement climatique et le développement en Afrique (CCDA-VII) qui a eu lieu à Nairobi, au Kenya, sous le thème «Changement climatique et développement en Afrique : politiques et actions pour la mise en œuvre effective de l’Accord de Paris pour des économies résilientes en Afrique», ont permis à l’Afrique de se préparer à la COP24.
Les réunions préparatoires se poursuivent en prévision de la réunion cruciale qui devra adopter des lignes directrices pour la mise en œuvre de l’Accord de Paris sur le changement climatique en finalisant le programme de travail dudit Accord (PAWP).
«Le règlement est particulièrement important car il guidera l’action de chaque pays sur le terrain et l’aidera à renforcer ses engagements en faveur de la lutte contre le changement climatique, en particulier les CDN, d’ici à 2020. Le règlement sera également utile pour responsabiliser les parties qui se sont engagées à les adopter», note Murombedzi. Il ajoute que la ACPC travaille avec les États membres et d’autres sur le continent en vue de la COP24.
La CEA a réalisé une étude détaillée de l’état de la mise en œuvre des CDN en Afrique et a conçu un programme visant à aider les États membres à rationaliser leurs CDN conformément à leurs objectifs de développement nationaux, ainsi qu’aux ODD et à l’Agenda 2063.
Les pays africains veulent également discuter du financement climatique, qui selon eux est essentiel pour aider les pays en développement à respecter leurs obligations. Les flux financiers actuels ne sont pas encore suffisants pour atteindre les 100 milliards de dollars promis par an d’ici 2020.
L’Afrique et d’autres pays en développement souhaitent entamer les discussions sur un nouvel objectif de financement pour le climat, qui doit entrer en vigueur à partir de 2025.
Pathé TOURE
«La CEA est fermement résolue à aider les États membres en ce qui concerne les CDN, prenant en compte la nécessité d’une action climatique urgente et adéquate, tout en maintenant le cap sur la réalisation des objectifs de l’Agenda 2063 et des Objectifs de développement durable», dit-il.
Murombedzi indique que la septième Conférence sur le changement climatique et le développement en Afrique (CCDA-VII) qui a eu lieu à Nairobi, au Kenya, sous le thème «Changement climatique et développement en Afrique : politiques et actions pour la mise en œuvre effective de l’Accord de Paris pour des économies résilientes en Afrique», ont permis à l’Afrique de se préparer à la COP24.
Les réunions préparatoires se poursuivent en prévision de la réunion cruciale qui devra adopter des lignes directrices pour la mise en œuvre de l’Accord de Paris sur le changement climatique en finalisant le programme de travail dudit Accord (PAWP).
«Le règlement est particulièrement important car il guidera l’action de chaque pays sur le terrain et l’aidera à renforcer ses engagements en faveur de la lutte contre le changement climatique, en particulier les CDN, d’ici à 2020. Le règlement sera également utile pour responsabiliser les parties qui se sont engagées à les adopter», note Murombedzi. Il ajoute que la ACPC travaille avec les États membres et d’autres sur le continent en vue de la COP24.
La CEA a réalisé une étude détaillée de l’état de la mise en œuvre des CDN en Afrique et a conçu un programme visant à aider les États membres à rationaliser leurs CDN conformément à leurs objectifs de développement nationaux, ainsi qu’aux ODD et à l’Agenda 2063.
Les pays africains veulent également discuter du financement climatique, qui selon eux est essentiel pour aider les pays en développement à respecter leurs obligations. Les flux financiers actuels ne sont pas encore suffisants pour atteindre les 100 milliards de dollars promis par an d’ici 2020.
L’Afrique et d’autres pays en développement souhaitent entamer les discussions sur un nouvel objectif de financement pour le climat, qui doit entrer en vigueur à partir de 2025.
Pathé TOURE