Le PROFAC est une initiative du gouvernement du Mali, à travers le ministère en charge du Commerce et de la Concurrence. D’un coût total de 5, 78 milliards de FCFA, le projet est financé à hauteur de 64,20% par l’Etat, les PTF 30,63% et les bénéficiaires 5,17% pour une durée de 5 ans. Le projet vise à promouvoir le commerce intérieur en améliorant le cadre de vie des commerçants détaillants. Ces derniers pourront bénéficier de financement pour développer leurs activités.
Le PROFAC comporte quatre composantes. Il s’agit de la composante création et renforcement des centres de gestion agréés; d’appui au financement des activités des acteurs; d’appui à l’amélioration de la commercialisation des produits; de la coordination, suivi-évaluation et communication.
S’exprimant à ce sujet, le ministre du Commerce et de la Concurrence fait savoir que le PROFAC entre en droite ligne du Programme d’urgence du président de la République Ibrahim Boubacar Keita. Il est en phase avec la Loi d’orientation du secteur privé (LOSP) qui, dans ses orientations stratégiques, met l’accent sur la migration rapide du secteur informel vers le secteur moderne structuré. Adopté en Conseil des ministres du 16 août 2017 pour une durée de 5 ans (2018-2022), a t-il rappelé.
« La mise en œuvre du PROFAC contribue à la lutte contre la pauvreté. J’exhorte les commerçants détaillants à plus de cohésion pour le bonheur du secteur privé. Et je réitère ici l’engagement du ministère du Commerce et de la Concurrence à favoriser l’encrage du commerce dans le processus de développement du Mali », dira Alhassane Ag Ahmed Moussa.
Pour sa part, le Chef du gouvernement a fait savoir que ce projet démontre l’intérêt que le président de la République témoigne à l’égard du secteur privé en général et des commerçants en particulier. Soumeylou Boubèye Maïga a procédé, par ailleurs, à la remise symbolique d’un chèque géant 250 millions aux représentants des bénéficiaires du projet.
Auparavant, le porte-parole des commerçants détaillants Harber Maïga a remercié les plus hautes autorités de notre pays pour leur accompagnement. Pour lui, ce projet est un moyen de lutte contre la pauvreté. Avant de promettre que les commerçants détaillants joueront pleinement leur partition pour l’atteinte des objectifs du PROFAC.
Pour Mamadou Baba Sylla, vice-président de la Chambre de Commerce et d’Industrie du Mali (CCIM), ce projet contribuera à l’amélioration des conditions du partenariat gagnant-gagnant entre les commerçants et le gouvernement.
Mahamane Maïga
Le PROFAC comporte quatre composantes. Il s’agit de la composante création et renforcement des centres de gestion agréés; d’appui au financement des activités des acteurs; d’appui à l’amélioration de la commercialisation des produits; de la coordination, suivi-évaluation et communication.
S’exprimant à ce sujet, le ministre du Commerce et de la Concurrence fait savoir que le PROFAC entre en droite ligne du Programme d’urgence du président de la République Ibrahim Boubacar Keita. Il est en phase avec la Loi d’orientation du secteur privé (LOSP) qui, dans ses orientations stratégiques, met l’accent sur la migration rapide du secteur informel vers le secteur moderne structuré. Adopté en Conseil des ministres du 16 août 2017 pour une durée de 5 ans (2018-2022), a t-il rappelé.
« La mise en œuvre du PROFAC contribue à la lutte contre la pauvreté. J’exhorte les commerçants détaillants à plus de cohésion pour le bonheur du secteur privé. Et je réitère ici l’engagement du ministère du Commerce et de la Concurrence à favoriser l’encrage du commerce dans le processus de développement du Mali », dira Alhassane Ag Ahmed Moussa.
Pour sa part, le Chef du gouvernement a fait savoir que ce projet démontre l’intérêt que le président de la République témoigne à l’égard du secteur privé en général et des commerçants en particulier. Soumeylou Boubèye Maïga a procédé, par ailleurs, à la remise symbolique d’un chèque géant 250 millions aux représentants des bénéficiaires du projet.
Auparavant, le porte-parole des commerçants détaillants Harber Maïga a remercié les plus hautes autorités de notre pays pour leur accompagnement. Pour lui, ce projet est un moyen de lutte contre la pauvreté. Avant de promettre que les commerçants détaillants joueront pleinement leur partition pour l’atteinte des objectifs du PROFAC.
Pour Mamadou Baba Sylla, vice-président de la Chambre de Commerce et d’Industrie du Mali (CCIM), ce projet contribuera à l’amélioration des conditions du partenariat gagnant-gagnant entre les commerçants et le gouvernement.
Mahamane Maïga