On notait la présence de 55 entreprises françaises et une quinzaine d’opérateurs économiques maliens. Ces hommes d’affaires ont largement discuté des fenêtres de développement de partenariats économiques dans les deux sens. En effet, le doute a été levé pour les opérateurs économiques français. Car, ils avaient des appréhensions diffuses sur le climat des affaires dans notre pays.
Fort préoccupé, Soumeylou Boubèye Maïga s’est efforcé de rassurer, en leur expliquant que notre pays offre, aujourd’hui, de solides et bonnes garanties, en termes de climat des affaires. « Tous sont unanimes sur les opportunités », s’est- -il réjoui.
En témoigne l’intervention du vice-président du MEDEF international, l’ancien ministre en charge de la Coopération, Michel Roussin. Sans doute, il a souligné que les entreprises françaises n’hésitent pas à investir en Afrique. Il a rappelé aussi que le comité Afrique du MEDEF entretient depuis des lustres, précisément depuis près de 20 ans, des relations d’affaires avec le secteur privé malien.
Le patron du MEDEF a relevé, également, que notre pays a un taux de croissance élevé qui tourne autour de 5 à 6%, avant de rappeler l’ambitieux projet de développement du corridor Nouakchott-Bamako.
Par ailleurs, le Premier ministre malien a rappelé toutes les opportunités de partenariat mais aussi de développement économique ainsi que la vision macro économique de notre pays et la volonté des autorités d’aller à la concrétisation des actions et engagements dans le domaine économique.
Fort reconnaissant, il interprète sa visite, à l’invitation de son homologue français, comme une marque de confiance. «J’essaie aussi de promouvoir l’image et la confiance d’un pays qui croit en ses capacités», a dit Soumeylou B. Maïga. Avant de relever aussi tout le sens de sa visite «dans un pays qui reste un partenaire historique et qui s’est porté au secours de notre pays de la manière qu’on sait».
Mahamane Maïga
Fort préoccupé, Soumeylou Boubèye Maïga s’est efforcé de rassurer, en leur expliquant que notre pays offre, aujourd’hui, de solides et bonnes garanties, en termes de climat des affaires. « Tous sont unanimes sur les opportunités », s’est- -il réjoui.
En témoigne l’intervention du vice-président du MEDEF international, l’ancien ministre en charge de la Coopération, Michel Roussin. Sans doute, il a souligné que les entreprises françaises n’hésitent pas à investir en Afrique. Il a rappelé aussi que le comité Afrique du MEDEF entretient depuis des lustres, précisément depuis près de 20 ans, des relations d’affaires avec le secteur privé malien.
Le patron du MEDEF a relevé, également, que notre pays a un taux de croissance élevé qui tourne autour de 5 à 6%, avant de rappeler l’ambitieux projet de développement du corridor Nouakchott-Bamako.
Par ailleurs, le Premier ministre malien a rappelé toutes les opportunités de partenariat mais aussi de développement économique ainsi que la vision macro économique de notre pays et la volonté des autorités d’aller à la concrétisation des actions et engagements dans le domaine économique.
Fort reconnaissant, il interprète sa visite, à l’invitation de son homologue français, comme une marque de confiance. «J’essaie aussi de promouvoir l’image et la confiance d’un pays qui croit en ses capacités», a dit Soumeylou B. Maïga. Avant de relever aussi tout le sens de sa visite «dans un pays qui reste un partenaire historique et qui s’est porté au secours de notre pays de la manière qu’on sait».
Mahamane Maïga