Selon elle, le Projet de Gestion des Ressources Naturelles et Changements Climatiques a été identifié et formulé par notre pays comme une réponse en vue d'asseoir, de façon durable, la résilience des populations aux changements climatiques.
A titre de rappel, elle fera savoir que l'un des objectifs de ce projet vise à amplifier les pratiques de Gestion Durable des Terres (GDT), devrait permettre aux populations rurales des communes cibles, de mieux valoriser leurs systèmes de production et leurs pratiques, par une bonne intégration des techniques et des technologies de résilience pour faire face aux effets néfastes des changements climatiques.
En effet, il s'agit d'une part de réduire la vulnérabilité et la pauvreté, de créer des emplois et de la richesse par des activités génératrices de revenus tout en respectant l’environnement, et, d'autre part, de valoriser, promouvoir et intégrer de façon rationnelle harmonieuse et efficiente, les pratiques de l'agriculture, la sylviculture et le pastoralisme. Une telle approche devra contribuer à éviter ou réduire les conflits récurrents entre les agriculteurs, les éleveurs et les exploitants de bois ou d’autres ressources forestières a-t-elle fait savoir.
Poursuivant, elle signale que Malgré les difficultés que connaissent aujourd'hui dans la zone d’intervention du PGRNCC, des résultats significatifs et concrets ont été obtenus, au titre desquels : la formation et la sensibilisation des producteurs sur utilisation des instruments de prévisions hydrologiques et météorologiques; l'examen et la révision des PDESC pour l'intégration de la Gestion Durable des Terres, la conservation de la biodiversité et l'adaptation aux changements climatiques de partage des données et des connaissances sur les risques climatiques et l'adaptation aux changements climatiques; la promotion de la gestion durable de la biodiversité selon une approche axée sur les écosystèmes: l'élaboration des plans d'aménagement et de gestion participatifs des écosystèmes forestiers de Ouagadou, de Gadiaba Kadiel et de Lorack-Bane.
De même, il y a eu le financement de 200 projets axés sur les activités génératrices de revenus, dont 50% à l'endroit des femmes pour un montant d’environ 700 000 000 francs CFA ; l'appui à l'aménagement et la gestion des parcours pastoraux en tenant compte des défis liés aux changements climatiques; l'appui aux initiatives de reboisement communautaire; etc.
Ce projet à seulement 15 mois de la date de fin opérationnelle avec un taux de réalisation technique de 75, 11 pour une exécution financière de 54,63%.
Flani SORA
A titre de rappel, elle fera savoir que l'un des objectifs de ce projet vise à amplifier les pratiques de Gestion Durable des Terres (GDT), devrait permettre aux populations rurales des communes cibles, de mieux valoriser leurs systèmes de production et leurs pratiques, par une bonne intégration des techniques et des technologies de résilience pour faire face aux effets néfastes des changements climatiques.
En effet, il s'agit d'une part de réduire la vulnérabilité et la pauvreté, de créer des emplois et de la richesse par des activités génératrices de revenus tout en respectant l’environnement, et, d'autre part, de valoriser, promouvoir et intégrer de façon rationnelle harmonieuse et efficiente, les pratiques de l'agriculture, la sylviculture et le pastoralisme. Une telle approche devra contribuer à éviter ou réduire les conflits récurrents entre les agriculteurs, les éleveurs et les exploitants de bois ou d’autres ressources forestières a-t-elle fait savoir.
Poursuivant, elle signale que Malgré les difficultés que connaissent aujourd'hui dans la zone d’intervention du PGRNCC, des résultats significatifs et concrets ont été obtenus, au titre desquels : la formation et la sensibilisation des producteurs sur utilisation des instruments de prévisions hydrologiques et météorologiques; l'examen et la révision des PDESC pour l'intégration de la Gestion Durable des Terres, la conservation de la biodiversité et l'adaptation aux changements climatiques de partage des données et des connaissances sur les risques climatiques et l'adaptation aux changements climatiques; la promotion de la gestion durable de la biodiversité selon une approche axée sur les écosystèmes: l'élaboration des plans d'aménagement et de gestion participatifs des écosystèmes forestiers de Ouagadou, de Gadiaba Kadiel et de Lorack-Bane.
De même, il y a eu le financement de 200 projets axés sur les activités génératrices de revenus, dont 50% à l'endroit des femmes pour un montant d’environ 700 000 000 francs CFA ; l'appui à l'aménagement et la gestion des parcours pastoraux en tenant compte des défis liés aux changements climatiques; l'appui aux initiatives de reboisement communautaire; etc.
Ce projet à seulement 15 mois de la date de fin opérationnelle avec un taux de réalisation technique de 75, 11 pour une exécution financière de 54,63%.
Flani SORA