La Secrétaire exécutive de la CEA, Vera Songwe, a présenté le cadre stratégique révisé de l’organisation à la réunion. Elle dit que les réformes verront la CEA s’élever au rang de groupe de réflexion digne du continent et un qui est bien placé pour soutenir les aspirations de croissance et de prospérité de l’Afrique, ajoutant que l’institution vieille de 60 ans travaille maintenant plus sur les questions de gouvernance.
Le cadre résume les résultats des récentes réformes de la CEA et articule la vision de la Commission, ses objectifs généraux et son orientation programmatique. L’institution se concentrera sur cinq domaines stratégiques : renforcer la position de la CEA en tant qu’institution de premier rang fondé sur sa position et son privilège uniques d’apporter des solutions globales au continent, construire des solutions de développement viables pour accélérer la diversification économique et l’industrialisation de l’Afrique; créer des solutions innovantes pour financer des infrastructures durables, humaines, physiques et sociales pour une Afrique en transformation; apporter des solutions aux problèmes transfrontaliers, en mettant l’accent sur l’inclusion sociale ; et trouver des solutions régionales en tant que contributions aux questions de gouvernance mondiale, ainsi que développer des connaissances pour défendre et gérer les défis de la prochaine génération en Afrique.
Dans son discours d’ouverture lors de la réunion, qui avait pour thème « Zone de libre-échange continentale africaine : créer une marge d’action budgétaire en faveur de l’emploi et de la diversification économique », Vera Songwe déclare jour qu’une nouvelle division axée sur le secteur privé est en cours de création. La division, dit-elle, sera en mesure de répondre aux demandes des États membres concernant l’implication du secteur privé dans la discussion et la mise en œuvre de la ZLECA.
« Après tout, la ZLEC concerne le commerce, la fabrication. Il s’agit essentiellement d’encourager le secteur privé à embaucher nos jeunes. Nous voulons nous assurer que nous créons le bon environnement pour que cela fonctionne », précise-t-elle.
La Patronne de la CEA indique que la première orientation stratégique qu’elle prend consiste à «reconvertir le personnel de la CEA pour pouvoir entrer dans le nouvel environnement panafricain où nous parlerons de marchés de capitaux, de l’intelligence artificielle, de nouvelles technologies, où l’Afrique peut augmenter sa productivité en utilisant ces nouveaux outils sur le marché pour brûler les étapes». Elle dit que l’Afrique doit innover et trouver de nouveaux moyens de financer sa croissance et son développement et s’assurer que les jeunes aient de l’espoir et jouissent de la prospérité sur le continent. La CEA aidera les États membres à y parvenir.
Pathé TOURE
Le cadre résume les résultats des récentes réformes de la CEA et articule la vision de la Commission, ses objectifs généraux et son orientation programmatique. L’institution se concentrera sur cinq domaines stratégiques : renforcer la position de la CEA en tant qu’institution de premier rang fondé sur sa position et son privilège uniques d’apporter des solutions globales au continent, construire des solutions de développement viables pour accélérer la diversification économique et l’industrialisation de l’Afrique; créer des solutions innovantes pour financer des infrastructures durables, humaines, physiques et sociales pour une Afrique en transformation; apporter des solutions aux problèmes transfrontaliers, en mettant l’accent sur l’inclusion sociale ; et trouver des solutions régionales en tant que contributions aux questions de gouvernance mondiale, ainsi que développer des connaissances pour défendre et gérer les défis de la prochaine génération en Afrique.
Dans son discours d’ouverture lors de la réunion, qui avait pour thème « Zone de libre-échange continentale africaine : créer une marge d’action budgétaire en faveur de l’emploi et de la diversification économique », Vera Songwe déclare jour qu’une nouvelle division axée sur le secteur privé est en cours de création. La division, dit-elle, sera en mesure de répondre aux demandes des États membres concernant l’implication du secteur privé dans la discussion et la mise en œuvre de la ZLECA.
« Après tout, la ZLEC concerne le commerce, la fabrication. Il s’agit essentiellement d’encourager le secteur privé à embaucher nos jeunes. Nous voulons nous assurer que nous créons le bon environnement pour que cela fonctionne », précise-t-elle.
La Patronne de la CEA indique que la première orientation stratégique qu’elle prend consiste à «reconvertir le personnel de la CEA pour pouvoir entrer dans le nouvel environnement panafricain où nous parlerons de marchés de capitaux, de l’intelligence artificielle, de nouvelles technologies, où l’Afrique peut augmenter sa productivité en utilisant ces nouveaux outils sur le marché pour brûler les étapes». Elle dit que l’Afrique doit innover et trouver de nouveaux moyens de financer sa croissance et son développement et s’assurer que les jeunes aient de l’espoir et jouissent de la prospérité sur le continent. La CEA aidera les États membres à y parvenir.
Pathé TOURE