Lors de la récente présentation du point de la préparation malienne, le docteur Modibo Sacko, point focal changement climatique au niveau du département en charge de l’Environnement, s’est réjoui de l’état des travaux.
A Bonn, le Mali sera représenté par une importante délégation composée des membres de départements ministériels, des services techniques du ministère de l’Environnement, de l’assainissement et du Développement Durable, de représentants de la société civile à travers des ONG et entreprises privées qui opèrent dans le domaine de l’environnement et les médias.
Après sa brillante participation à la dernière COP en 2016 à Marrakech (Maroc), le Mali entend consolider les acquis de cette dernière qui était celle de l’action, mais aussi, renforcer son action de plaidoyer/lobbying en soutenant des réalisations dans le cadre de la lutte contre la pauvreté et les effets néfastes des changements climatiques.
Pour mener à bien ces travaux, le comité d’organisation de la participation du Mali a acquis un stand de 100 m2 sur le site de la conférence, précise le docteur Sacko. Des moyens conséquents ont été déployés à cet effet pour assurer une participation efficace et remarquable à notre délégation, ajoute-t-il.
En revenant sur le rôle de leadership du Mali dans l’action climatique, il a souligné l’élaboration et l’adoption par notre pays de sa Contribution nationale déterminée au niveau national (CDN). Ce document fixe les objectifs de réduction des émissions de Gaz à effet de serre et présente l’ensemble de ses engagements d’ici 2030, en matière d’atténuation et d’adaptation aux changements climatiques.
Dans le cadre de la mise en place d’un mécanisme de financement des actions de lutte contre les effets néfastes des changements climatiques, le Mali a créé son propre fonds climat qui a obtenu en janvier 2017, la signature des Partenaires techniques et financiers (PTF). Au plan international, notre pays joue un rôle de leadership dans le processus de négociations sur les changements climatiques et de l’action climatique mondiale.
Mahamane MAIGA
A Bonn, le Mali sera représenté par une importante délégation composée des membres de départements ministériels, des services techniques du ministère de l’Environnement, de l’assainissement et du Développement Durable, de représentants de la société civile à travers des ONG et entreprises privées qui opèrent dans le domaine de l’environnement et les médias.
Après sa brillante participation à la dernière COP en 2016 à Marrakech (Maroc), le Mali entend consolider les acquis de cette dernière qui était celle de l’action, mais aussi, renforcer son action de plaidoyer/lobbying en soutenant des réalisations dans le cadre de la lutte contre la pauvreté et les effets néfastes des changements climatiques.
Pour mener à bien ces travaux, le comité d’organisation de la participation du Mali a acquis un stand de 100 m2 sur le site de la conférence, précise le docteur Sacko. Des moyens conséquents ont été déployés à cet effet pour assurer une participation efficace et remarquable à notre délégation, ajoute-t-il.
En revenant sur le rôle de leadership du Mali dans l’action climatique, il a souligné l’élaboration et l’adoption par notre pays de sa Contribution nationale déterminée au niveau national (CDN). Ce document fixe les objectifs de réduction des émissions de Gaz à effet de serre et présente l’ensemble de ses engagements d’ici 2030, en matière d’atténuation et d’adaptation aux changements climatiques.
Dans le cadre de la mise en place d’un mécanisme de financement des actions de lutte contre les effets néfastes des changements climatiques, le Mali a créé son propre fonds climat qui a obtenu en janvier 2017, la signature des Partenaires techniques et financiers (PTF). Au plan international, notre pays joue un rôle de leadership dans le processus de négociations sur les changements climatiques et de l’action climatique mondiale.
Mahamane MAIGA