D’ailleurs les divers groupes Francophonie, Afrique Caraibes Pacifiques(ACP), Union Africaine(UA), mais aussi les latino-américains (Mercosour) et le Commonwealth poursuivent leurs concertations depuis jeudi 09 Décembre à Buenos Aires. Ce ne sera certainement pas pour trouver un accord mais plutôt dégager une position commune.
C’est ce qui ressort de la présentation de la présentation de l’Ambassadeur Garambé, coordonnateur du groupe africain, pour qui Bali et Nairobi ont été la manifestation de l’engagement de l’Afrique en plaçant le développement au cœur des négociations, et qu’il n’est pas souhaitable de revenir la dessus, notamment en ce qui concerne l’agriculture, la pêche et le Traitement spécial et différentié ( TSD) .
Il ya des écarts importants sur ces dossiers et sur d’autres d’ailleurs comme les stocks publics destinés à la sécurité alimentaire, et le commerce électronique au sujet duquel, M. Alioune Sarr ministre sénégalais du commerce a été désigné comme facilitateur.
C’est dire que les délégations ont donné le tempo avant l’ouverture demain 11Décembre des négociations de la conférence ministérielle, notamment par le Président Argentin Mauricio MACRI, qui aura à ses côtés 4 présidents dont celui de l’Uruguay du Brésil et du Paraguay, les autres ayant envoyé des représentants.
L’apparition de questions nouvelles aux débats qui ont eu lieu à Génève à même poussé certains à poser la question du mode de délibération de l’OMC, car des questions qui n’ont pas eu de validation technique sont posées dans les négociations pour la première fois.
Au total les présidents des pays membre du Mercosur et leur représentant ont clamé qu’il fallait certes un système multilatéral, mais ils ont relevé qu’il fallait qu’il soit transparent, inclusif, prévisible et équitable.
Diego Reveillard, Envoyé spécial à Buenos Aires
C’est ce qui ressort de la présentation de la présentation de l’Ambassadeur Garambé, coordonnateur du groupe africain, pour qui Bali et Nairobi ont été la manifestation de l’engagement de l’Afrique en plaçant le développement au cœur des négociations, et qu’il n’est pas souhaitable de revenir la dessus, notamment en ce qui concerne l’agriculture, la pêche et le Traitement spécial et différentié ( TSD) .
Il ya des écarts importants sur ces dossiers et sur d’autres d’ailleurs comme les stocks publics destinés à la sécurité alimentaire, et le commerce électronique au sujet duquel, M. Alioune Sarr ministre sénégalais du commerce a été désigné comme facilitateur.
C’est dire que les délégations ont donné le tempo avant l’ouverture demain 11Décembre des négociations de la conférence ministérielle, notamment par le Président Argentin Mauricio MACRI, qui aura à ses côtés 4 présidents dont celui de l’Uruguay du Brésil et du Paraguay, les autres ayant envoyé des représentants.
L’apparition de questions nouvelles aux débats qui ont eu lieu à Génève à même poussé certains à poser la question du mode de délibération de l’OMC, car des questions qui n’ont pas eu de validation technique sont posées dans les négociations pour la première fois.
Au total les présidents des pays membre du Mercosur et leur représentant ont clamé qu’il fallait certes un système multilatéral, mais ils ont relevé qu’il fallait qu’il soit transparent, inclusif, prévisible et équitable.
Diego Reveillard, Envoyé spécial à Buenos Aires