Selon M. Akinwumi A. Adesina, cette notation avec perspective stable est étayée par des politiques saines en matière de gestion financière et de gestion des risques, une excellente liquidité et un soutien ferme des actionnaires.
Avec 7,67 milliards de dollars de décaissement, a-t-il souligné, la Banque a atteint son niveau de décaissement annuel le plus élevé de toute son histoire.
En 2017, confie Adesina, nos investissements dans le secteur de l’énergie ont couvert 31 opérations dans 23 pays, pour un montant de 1,39 milliard de dollars, soit une augmentation de 30 % par rapport à 2016.
Il ajoute que la Banque a lancé sa plus grande émission obligataire de référence à trois ans d’un montant de 2,5 milliards de dollars, suivie de sa plus grande émission obligataire de référence à cinq ans d’une valeur de 2 milliards de dollars.
La marque Adesina
D’après lui, la Banque continue d’accroître régulièrement ses revenus, renversant ainsi la tendance baissière qui prévalait lorsqu’il avait pris fonctions, voici deux ans.
D’après lui, lorsqu’il avait pris la relève, le revenu net d’exploitation de la Banque était passé de 589,3 millions de dollars en 2014 à 492,7 millions de dollars en 2015. « Depuis, un rapide revirement a été opéré », fait-il remarquer.
A l’en croire, le revenu net d’exploitation est passé à 556,6 millions de dollars en 2016, avant de grimper encore en 2017, pour atteindre 855 millions de dollars, soit une hausse de près de 54 % par rapport à 2016. Et pour mettre les choses en perspective, l’augmentation est de 73 % par rapport à la situation de 2015.
Dans la même dynamique, souligne Adesina, la Banque mobilise plus de ressources pour l’Afrique. « En 2017, nous avons mobilisé 9,73 milliards de dollars sur les marchés des capitaux pour les pays africains, dont 300 millions de dollars sur les ressources de l’Initiative d’assistance renforcée au secteur privé en Afrique ».
Le président de la BAD se réjouit que la Banque ait, l’an dernier, contribué à mobiliser 6 milliards de dollars pour le mécanisme historique qu’est l’Initiative énergétique Japon-Afrique, qui permettra d’accélérer les efforts déployés pour Eclairer l’Afrique et l’alimenter en énergie.
Il rappelle que l’institution fait beaucoup dans le cadre du programme Éclairer l’Afrique et l’alimenter en énergie. « L’an dernier, nous avons investi 1,39 milliard de dollars dans l’amélioration de l’accès à l’électricité, contribuant ainsi à la production de 1 400 MW d’électricité supplémentaires, et au branchement de 3,8 millions de personnes aux réseaux électriques ».
Plus important, ajoute-t-il, la Banque africaine de développement est aux avant-postes dans le domaine des énergies renouvelables. « Voici deux ans, la part des énergies renouvelables dans l’ensemble de notre portefeuille énergétique n’était que de 14 %. En 2016, nous avions porté cette part à 74 %. Et en 2017, nous avons atteint le niveau record de 100 % de nos nouveaux prêts dans le domaine des énergies renouvelables ».
Pour lui, en accédant à davantage de financement, nous espérons fournir l’électricité à un nombre sans précédent de 29,3 millions d’Africains, entre 2018 et 2020.
Mariama Diallo
Avec 7,67 milliards de dollars de décaissement, a-t-il souligné, la Banque a atteint son niveau de décaissement annuel le plus élevé de toute son histoire.
En 2017, confie Adesina, nos investissements dans le secteur de l’énergie ont couvert 31 opérations dans 23 pays, pour un montant de 1,39 milliard de dollars, soit une augmentation de 30 % par rapport à 2016.
Il ajoute que la Banque a lancé sa plus grande émission obligataire de référence à trois ans d’un montant de 2,5 milliards de dollars, suivie de sa plus grande émission obligataire de référence à cinq ans d’une valeur de 2 milliards de dollars.
La marque Adesina
D’après lui, la Banque continue d’accroître régulièrement ses revenus, renversant ainsi la tendance baissière qui prévalait lorsqu’il avait pris fonctions, voici deux ans.
D’après lui, lorsqu’il avait pris la relève, le revenu net d’exploitation de la Banque était passé de 589,3 millions de dollars en 2014 à 492,7 millions de dollars en 2015. « Depuis, un rapide revirement a été opéré », fait-il remarquer.
A l’en croire, le revenu net d’exploitation est passé à 556,6 millions de dollars en 2016, avant de grimper encore en 2017, pour atteindre 855 millions de dollars, soit une hausse de près de 54 % par rapport à 2016. Et pour mettre les choses en perspective, l’augmentation est de 73 % par rapport à la situation de 2015.
Dans la même dynamique, souligne Adesina, la Banque mobilise plus de ressources pour l’Afrique. « En 2017, nous avons mobilisé 9,73 milliards de dollars sur les marchés des capitaux pour les pays africains, dont 300 millions de dollars sur les ressources de l’Initiative d’assistance renforcée au secteur privé en Afrique ».
Le président de la BAD se réjouit que la Banque ait, l’an dernier, contribué à mobiliser 6 milliards de dollars pour le mécanisme historique qu’est l’Initiative énergétique Japon-Afrique, qui permettra d’accélérer les efforts déployés pour Eclairer l’Afrique et l’alimenter en énergie.
Il rappelle que l’institution fait beaucoup dans le cadre du programme Éclairer l’Afrique et l’alimenter en énergie. « L’an dernier, nous avons investi 1,39 milliard de dollars dans l’amélioration de l’accès à l’électricité, contribuant ainsi à la production de 1 400 MW d’électricité supplémentaires, et au branchement de 3,8 millions de personnes aux réseaux électriques ».
Plus important, ajoute-t-il, la Banque africaine de développement est aux avant-postes dans le domaine des énergies renouvelables. « Voici deux ans, la part des énergies renouvelables dans l’ensemble de notre portefeuille énergétique n’était que de 14 %. En 2016, nous avions porté cette part à 74 %. Et en 2017, nous avons atteint le niveau record de 100 % de nos nouveaux prêts dans le domaine des énergies renouvelables ».
Pour lui, en accédant à davantage de financement, nous espérons fournir l’électricité à un nombre sans précédent de 29,3 millions d’Africains, entre 2018 et 2020.
Mariama Diallo