La BSIC Mali, 13 ans, après l’ouverture de ses guichets, est aujourd’hui un acteur clé du financement de l’économie nationale. En effet, cette filiale ouverte depuis 2004, fait partie des premières groupes bancaires né de la vision panafricaniste des leaders et chefs d’Etat des pays membres de la CENSAD. Malgré les vicissitudes de cette organisation, le groupe bancaire, doté d’un capital de 750 millions d’Euros (près de 500 milliards de FCFA) fait preuve de résilience et continue d’apporter sa contribution au développement de l’économie des 14 pays membres.
Le Directeur général, Mamadou Diouf a rappelé que la filiale malienne a démarré avec un capital de 2 milliards porté en 2016 à 11 milliards de FCFA, renforçant ainsi les capacités de financement d’investissements. Elle compte aujourd’hui plus de 33 000 clients à la disposition desquels elle met une cinquantaine de produits et services.
Ainsi, pour plus de proximité avec la clientèle, la banque dispose de neuf agences à Bamako et couvre les villes de Ségou, Mopti, Kayes, Sikasso et Koutiala.
Elle s’est dotée d’un plan d’extension pour couvrir davantage le pays et répondre aux aspirations des Maliens. Aux dires du conférencier, en 12 années d’activités, la banque a apporté 804 milliards de FCFA dans le financement de l’économie malienne dont les deux tiers ont été investis dans les cinq dernières années notamment dans les crédits à moyen et long termes en faveur des PME-PMI. Ces financements ont concernés presque tous les secteurs clés de l’économie comme l’agriculture, l’agro-alimentaire, l’hydraulique, le commerce, l’agro-industrie, les télécommunications, l’énergie et les mines, le transport, les BTP, le tourisme et l’hôtellerie etc.
Pour répondre à ses besoins en ressources longues nécessaires pour une institution de sa trempe, la BSIC a développé des partenariats avec certaines institutions internationales de financements comme la BOAD, la BAD etc.
Pour le Directeur général de la banque, cette forte contribution à l’économie malienne est plus que normale parce que notre pays est aussi le troisième actionnaire important de la holding après la Libye et le Soudan. Il abrite aussi le centre de formation bancaire du groupe. Parmi les projets d’envergure soutenus dans notre pays, M. Diouf a fait cas des crédits campagnes et crédits intrants agricoles, du financement de Atel-Mali pour la troisième licence de téléphonie, de Toguna agro-industrie, de Diamont Cement Mali. Pour accentuer son apport au PME-PMI, la banque est aussi actionnaire du Fonds de Garantie du Secteur Privé (FGSP) et la Caisse de refinancement de l’UEMOA.
Le Directeur général de la BSIC-Mali, Mamadou DiouF s’est dit convaincu qu’aujourd’hui, le premier défi du secteur bancaire malien est la quête de l’inclusion financière car le taux de bancarisation n’est pas à un niveau requis et le second est le financement des PME-PMI.
La banque entend poursuivre sa dynamique de soutien à ces PME-PMI, acteurs majeurs de l’économie. Pour cela, elle a mis 10 milliards de FCFA dans sa modernisation dont la construction d’un siège qui sera inauguré la semaine prochaine, l’acquisition de nouvelles technologies et le renforcement du système sécuritaire.
En tout cas, avant de conclure, le conférencier dira que si la banque est née de la vision des chefs d’Etat de la CENSAD, l’institution créée et fonctionnant suivant les normes bancaires a fait preuve d’une grande résilience et va continuer à accompagner les acteurs économiques des pays membres. Il a indiqué que le secrétaire général de la CENSAD sera présent à Bamako pour l’inauguration du nouveau siège.
Youssef Ibrahim
Le Directeur général, Mamadou Diouf a rappelé que la filiale malienne a démarré avec un capital de 2 milliards porté en 2016 à 11 milliards de FCFA, renforçant ainsi les capacités de financement d’investissements. Elle compte aujourd’hui plus de 33 000 clients à la disposition desquels elle met une cinquantaine de produits et services.
Ainsi, pour plus de proximité avec la clientèle, la banque dispose de neuf agences à Bamako et couvre les villes de Ségou, Mopti, Kayes, Sikasso et Koutiala.
Elle s’est dotée d’un plan d’extension pour couvrir davantage le pays et répondre aux aspirations des Maliens. Aux dires du conférencier, en 12 années d’activités, la banque a apporté 804 milliards de FCFA dans le financement de l’économie malienne dont les deux tiers ont été investis dans les cinq dernières années notamment dans les crédits à moyen et long termes en faveur des PME-PMI. Ces financements ont concernés presque tous les secteurs clés de l’économie comme l’agriculture, l’agro-alimentaire, l’hydraulique, le commerce, l’agro-industrie, les télécommunications, l’énergie et les mines, le transport, les BTP, le tourisme et l’hôtellerie etc.
Pour répondre à ses besoins en ressources longues nécessaires pour une institution de sa trempe, la BSIC a développé des partenariats avec certaines institutions internationales de financements comme la BOAD, la BAD etc.
Pour le Directeur général de la banque, cette forte contribution à l’économie malienne est plus que normale parce que notre pays est aussi le troisième actionnaire important de la holding après la Libye et le Soudan. Il abrite aussi le centre de formation bancaire du groupe. Parmi les projets d’envergure soutenus dans notre pays, M. Diouf a fait cas des crédits campagnes et crédits intrants agricoles, du financement de Atel-Mali pour la troisième licence de téléphonie, de Toguna agro-industrie, de Diamont Cement Mali. Pour accentuer son apport au PME-PMI, la banque est aussi actionnaire du Fonds de Garantie du Secteur Privé (FGSP) et la Caisse de refinancement de l’UEMOA.
Le Directeur général de la BSIC-Mali, Mamadou DiouF s’est dit convaincu qu’aujourd’hui, le premier défi du secteur bancaire malien est la quête de l’inclusion financière car le taux de bancarisation n’est pas à un niveau requis et le second est le financement des PME-PMI.
La banque entend poursuivre sa dynamique de soutien à ces PME-PMI, acteurs majeurs de l’économie. Pour cela, elle a mis 10 milliards de FCFA dans sa modernisation dont la construction d’un siège qui sera inauguré la semaine prochaine, l’acquisition de nouvelles technologies et le renforcement du système sécuritaire.
En tout cas, avant de conclure, le conférencier dira que si la banque est née de la vision des chefs d’Etat de la CENSAD, l’institution créée et fonctionnant suivant les normes bancaires a fait preuve d’une grande résilience et va continuer à accompagner les acteurs économiques des pays membres. Il a indiqué que le secrétaire général de la CENSAD sera présent à Bamako pour l’inauguration du nouveau siège.
Youssef Ibrahim