La capitalisation boursière du marché des actions s’établit à 5 003 milliards de francs CFA. Les transactions en valeur du marché des actions s’établissent à 2,2 milliards de francs CFA en fin de semaine, portées principalement par les secteurs « Services Publics » (69%) et « Finances » (22%).
Le titre NEI CEDA CI réalise la plus importante progression du marché avec un gain de 39,39%, tandis que le titre AIR LIQUIDE CI affiche la plus forte baisse avec une chute de 8,16%.
Sur le marché des matières premières, les cours du caoutchouc et de l’huile de palme terminent la semaine en hausse (respectivement +3,81%% et +3,36%) ; tandis que les cours du cacao sont sous pression (-2,22% à New York et -3,06% à Londres).
Au terme de l’exercice 2018, il est observé une hausse des performances de la filiale nigérienne du groupe Bank Of Africa. Le Produit Net Bancaire (PNB) est ressorti à 20 630 millions de FCFA, en hausse de 8% grâce à une progression significative de la marge d’intérêt (58%).
Le PNB aurait été plus important si la banque avait réalisé des gains nets sur les opérations de portefeuilles de placement. Le résultat net a connu également connu une hausse (+11%), pour se situer à 7 666 millions de FCFA.
Sur le marché boursier, après un repli de 10,1% sur la première semaine de l’année 2019, le cours de l’action BOA Niger suit une tendance générale à la hausse. Il s’établit, au 22 Mars 2019, à 4 200 FCFA, soit un gain de 7,7% par rapport à l’entame de l’année. Cette évolution pourrait refléter particulièrement les arbitrages des investisseurs en faveur des titres relativement accessibles avec des rendements intéressants, à l’instar du titre BOA NG dans le secteur « Finances » de la BRVM.
De plus, avant la publication de ses résultats annuels 2018, la banque affichait déjà des perspectives intéressantes, comme le suggérait ses résultats du 3 e trimestre, publiés en décembre 2018. L’Assemblée Générale qui se tiendra le 05 avril 2019 devrait entériner la distribution d’un dividende net par action de 385,95 FCFA au titre de l’exercice 2018, soit une hausse de 1,7% par rapport à l’exercice précédent. L’attractivité du titre devrait grosso-modo se renforcer, du moins jusqu’à la distribution effective des dividendes.
Amadou Idrissa Dia
Le titre NEI CEDA CI réalise la plus importante progression du marché avec un gain de 39,39%, tandis que le titre AIR LIQUIDE CI affiche la plus forte baisse avec une chute de 8,16%.
Sur le marché des matières premières, les cours du caoutchouc et de l’huile de palme terminent la semaine en hausse (respectivement +3,81%% et +3,36%) ; tandis que les cours du cacao sont sous pression (-2,22% à New York et -3,06% à Londres).
Au terme de l’exercice 2018, il est observé une hausse des performances de la filiale nigérienne du groupe Bank Of Africa. Le Produit Net Bancaire (PNB) est ressorti à 20 630 millions de FCFA, en hausse de 8% grâce à une progression significative de la marge d’intérêt (58%).
Le PNB aurait été plus important si la banque avait réalisé des gains nets sur les opérations de portefeuilles de placement. Le résultat net a connu également connu une hausse (+11%), pour se situer à 7 666 millions de FCFA.
Sur le marché boursier, après un repli de 10,1% sur la première semaine de l’année 2019, le cours de l’action BOA Niger suit une tendance générale à la hausse. Il s’établit, au 22 Mars 2019, à 4 200 FCFA, soit un gain de 7,7% par rapport à l’entame de l’année. Cette évolution pourrait refléter particulièrement les arbitrages des investisseurs en faveur des titres relativement accessibles avec des rendements intéressants, à l’instar du titre BOA NG dans le secteur « Finances » de la BRVM.
De plus, avant la publication de ses résultats annuels 2018, la banque affichait déjà des perspectives intéressantes, comme le suggérait ses résultats du 3 e trimestre, publiés en décembre 2018. L’Assemblée Générale qui se tiendra le 05 avril 2019 devrait entériner la distribution d’un dividende net par action de 385,95 FCFA au titre de l’exercice 2018, soit une hausse de 1,7% par rapport à l’exercice précédent. L’attractivité du titre devrait grosso-modo se renforcer, du moins jusqu’à la distribution effective des dividendes.
Amadou Idrissa Dia