La capitalisation boursière du marché des actions s’établit à 6 436 milliards FCFA. Les transactions en valeur du marché des actions s’établissent à 8,6 milliards FCFA en fin de semaine, portées principalement par les secteurs « FINANCES » (31%) et « SERVICES PUBLICS » (59%). Le titre NEI CEDA CI réalise la plus importante progression du marché avec un gain de 25% tandis que le titre SODECI affiche la plus forte baisse avec une chute de 11,87%. Sur le marché des matières premières, les cours du cacao ont terminé la semaine en hausse tandis que les cours du gaz naturel, de l’argent et du pétrole brut ont terminé la semaine dans le rouge.
Sur le marché des actions de la BRVM, à fin septembre 2017, le chiffre d’affaires de l’entreprise UNILEVER CI s’élevait à 45,390 milliards FCFA contre 42,898 milliards FCFA à la même période de l’année précédente, soit une hausse de 5,81%. L’entreprise explique cette hausse par l’amélioration de la couverture de ses différents produits tant sur le marché local que sur les marchés étrangers qu’elle dessert. Par contre, note le rapport de Bloomfield Intelligence basée à Abidjan, le résultat net à la même date indiquait un déficit de 3,192 milliards FCFA, quoique celui-ci se soit réduit de plus de moitié par rapport à fin septembre 2016. Pour le dernier trimestre de l’année 2017, l’entreprise est optimiste sur sa capacité à maintenir la croissance de ses ventes grâce à une structure commerciale plus solide et un rythme d’innovation plus soutenu. Néanmoins, le résultat net devrait demeurer négatif pour l’exercice 2017, avec toutefois une perte moindre par rapport à 2016. Pour la sixième année consécutive, l’entreprise ne devrait donc pas distribuer de dividendes, ce qui pourrait limiter encore l’attractivité de son titre sur la BRVM. En effet, le cours du titre UNILEVER CI a suivi au cours de l’année 2017 une tendance baissière continue. A fin décembre 2017, le titre cotait à 8 500 FCFA, soit une moins-value de 55,26% par rapport à l’entame de l’année. Sur les premières semaines de 2018, le cours du titre a continué de baisser, se situant à 6 940 FCFA à la date du 2 février. Le titre pourrait poursuivre son mouvement baissier sur une bonne partie de l’année 2018. L’inversion de cette tendance est conditionnée à la capacité d’UNILEVER CI à mieux gérer ses coûts et à l’accroissement de ses parts de marché.
Adou Faye
Sur le marché des actions de la BRVM, à fin septembre 2017, le chiffre d’affaires de l’entreprise UNILEVER CI s’élevait à 45,390 milliards FCFA contre 42,898 milliards FCFA à la même période de l’année précédente, soit une hausse de 5,81%. L’entreprise explique cette hausse par l’amélioration de la couverture de ses différents produits tant sur le marché local que sur les marchés étrangers qu’elle dessert. Par contre, note le rapport de Bloomfield Intelligence basée à Abidjan, le résultat net à la même date indiquait un déficit de 3,192 milliards FCFA, quoique celui-ci se soit réduit de plus de moitié par rapport à fin septembre 2016. Pour le dernier trimestre de l’année 2017, l’entreprise est optimiste sur sa capacité à maintenir la croissance de ses ventes grâce à une structure commerciale plus solide et un rythme d’innovation plus soutenu. Néanmoins, le résultat net devrait demeurer négatif pour l’exercice 2017, avec toutefois une perte moindre par rapport à 2016. Pour la sixième année consécutive, l’entreprise ne devrait donc pas distribuer de dividendes, ce qui pourrait limiter encore l’attractivité de son titre sur la BRVM. En effet, le cours du titre UNILEVER CI a suivi au cours de l’année 2017 une tendance baissière continue. A fin décembre 2017, le titre cotait à 8 500 FCFA, soit une moins-value de 55,26% par rapport à l’entame de l’année. Sur les premières semaines de 2018, le cours du titre a continué de baisser, se situant à 6 940 FCFA à la date du 2 février. Le titre pourrait poursuivre son mouvement baissier sur une bonne partie de l’année 2018. L’inversion de cette tendance est conditionnée à la capacité d’UNILEVER CI à mieux gérer ses coûts et à l’accroissement de ses parts de marché.
Adou Faye