La capitalisation boursière du marché des actions s’établit à 6 432 milliards FCFA. Les transactions en valeur du marché des actions s’établissent à 2,6 milliards FCFA en fin de semaine, portées par les secteurs « Finances » (51%) et « Services Publics » (42%). Le titre NSIA BANQUE CI réalise la plus importante progression du marché avec un gain de 11,25% tandis que le titre NEI CEDA CI affiche la plus forte baisse avec une chute de 20,10%. Sur le marché des matières premières, le cours du pétrole brut poursuit sa hausse (+1,06%), s’élevant au dessus de 70 USD le baril, tandis que les cours du café et du caoutchouc terminent la semaine en baisse (respectivement -3% et -1,55%).
De bonnes performances réalisées par Ecobank CI sur la période 2011-2016
Sur le marché des actions, la première cotation de la filiale ivoirienne du groupe ECOBANK a eu lieu le 12 décembre 2017 avec un fort intérêt des investisseurs de la BRVM. Cela pourrait se justifier par les bonnes performances réalisées par la banque sur la période 2011-2016 : une croissance moyenne annuelle du PNB et du résultat net, respectivement de 14,09% et 20,95%., note le chef économiste de Bloomfield Intelligence , une agence de notation panafricaine spécialisée dans l’évaluation du risque de crédit. L’action ECOBANK CI a gagné 48,35% à l’issue de sa 1 ère semaine de cotation, puis a régressé pour se situer, le 11 janvier 2018, à un niveau légèrement supérieur (+7,48%) à son niveau initial. Ensuite, elle a évolué de nouveau à la hausse pendant 3 mois, jusqu’à atteindre le 30 mars 2018 son niveau le plus élevé de l’année, soit 27 495 FCFA. En cette fin de semaine, elle cote à 23 050 FCFA (-16,17% par rapport à fin mars 2018). Au terme du 1 er trimestre 2018, ECOBANK CI a enregistré une hausse de 11% des dépôts de sa clientèle, ce qui lui a permis d’augmenter de 6% ses crédits à l’économie par rapport à la même période en 2017. Le PNB et le résultat net sont ressortis respectivement en hausse de 12% et 9% sur la même période. La tendance haussière des résultats de la banque devrait se poursuivre sur le reste de 2018, à la faveur de l’activité économique en Côte d’Ivoire attendue à nouveau en hausse cette année. Cette dynamique est renforcée par le fait que la banque est parvenue à se constituer des capitaux propres suffisants, lui permettant de développer son activité tout en faisant face sereinement au renforcement des exigences règlementaires en vigueur depuis le 1 er janvier 2018.
Amadou Idrissa Dia
De bonnes performances réalisées par Ecobank CI sur la période 2011-2016
Sur le marché des actions, la première cotation de la filiale ivoirienne du groupe ECOBANK a eu lieu le 12 décembre 2017 avec un fort intérêt des investisseurs de la BRVM. Cela pourrait se justifier par les bonnes performances réalisées par la banque sur la période 2011-2016 : une croissance moyenne annuelle du PNB et du résultat net, respectivement de 14,09% et 20,95%., note le chef économiste de Bloomfield Intelligence , une agence de notation panafricaine spécialisée dans l’évaluation du risque de crédit. L’action ECOBANK CI a gagné 48,35% à l’issue de sa 1 ère semaine de cotation, puis a régressé pour se situer, le 11 janvier 2018, à un niveau légèrement supérieur (+7,48%) à son niveau initial. Ensuite, elle a évolué de nouveau à la hausse pendant 3 mois, jusqu’à atteindre le 30 mars 2018 son niveau le plus élevé de l’année, soit 27 495 FCFA. En cette fin de semaine, elle cote à 23 050 FCFA (-16,17% par rapport à fin mars 2018). Au terme du 1 er trimestre 2018, ECOBANK CI a enregistré une hausse de 11% des dépôts de sa clientèle, ce qui lui a permis d’augmenter de 6% ses crédits à l’économie par rapport à la même période en 2017. Le PNB et le résultat net sont ressortis respectivement en hausse de 12% et 9% sur la même période. La tendance haussière des résultats de la banque devrait se poursuivre sur le reste de 2018, à la faveur de l’activité économique en Côte d’Ivoire attendue à nouveau en hausse cette année. Cette dynamique est renforcée par le fait que la banque est parvenue à se constituer des capitaux propres suffisants, lui permettant de développer son activité tout en faisant face sereinement au renforcement des exigences règlementaires en vigueur depuis le 1 er janvier 2018.
Amadou Idrissa Dia