La capitalisation boursière du marché des actions s’établit à 5 913 milliards FCFA. Les transactions en valeur du marché des actions s’établissent à 3,1 milliards FCFA en fin de semaine, portées principalement par les secteur des « Services Publics » (62%) et des « Finances » (25%). Le titre NEI CEDA CI réalise la plus importante progression du marché avec un gain de 11,11%, tandis que le titre ECOBANK TRANS. INCORP TG affiche la plus forte baisse avec une chute de 8,7%. Sur le marché des matières premières, les cours du cacao enregistrent une baisse significative (-7,44% à Londres et -8,11% à New York) en une semaine tandis que les cours du caoutchouc et de l’huile de palme terminent la semaine en hausse (respectivement +0,25% et +0,65%).
Sur le marché des actions, en 2017, la filiale ivoirienne du groupe Bank Of Africa a réalisé un PNB en hausse 4,9% et un résultat net en progression de 6,9% , note l’économiste en chef de Bloomfield Investment. Selon le rapport d’activité du premier trimestre 2018, elle a de nouveau enregistré de bonnes performances financières relativement au premier trimestre 2017 : un PNB et un résultat net en hausse, respectivement, de 17,11% et de 27,82%. La publication de ces résultats (annuel 2017 et du 1 er trimestre 2018), successivement, au cours des 10 derniers jours du mois d’avril n’ont toutefois pas empêché la poursuite de la baisse du cours de l’action BOA CI sur le marché boursier, passant de 5 400 FCFA le 14 mars à 3 600 FCFA le 16 mai 2018. La perspective du paiement de dividende au titre de l’exercice 2017 (en hausse relativement à celui payé au titre de l’exercice 2016 de 8%) a contribué à la remontée (+27,77%) du cours jusqu’à quasiment la veille du paiement effectif, le 06 juin. Depuis cette date, l’évolution du cours du titre est assez volatile, oscillant entre 4 100 FCFA et 4 495 FCFA. L’appui du groupe dans la migration des nouvelles normes et le renforcement de la gestion de risques opérationnels sont des atouts importants pour le développement de BOA CI. Les perspectives de hausse de la marge d’intérêt et le potentiel qu’offre le marché des PME laissent entrevoir une amélioration des performances de l’entreprise, malgré un environnement très concurrentiel. Il n’en demeure pas moins que l’amélioration du niveau de la profitabilité qui en découle devrait se ressentir sur les dividendes de sorte à attiser l’appétit des investisseurs.
Amadou Idrissa Dia
Sur le marché des actions, en 2017, la filiale ivoirienne du groupe Bank Of Africa a réalisé un PNB en hausse 4,9% et un résultat net en progression de 6,9% , note l’économiste en chef de Bloomfield Investment. Selon le rapport d’activité du premier trimestre 2018, elle a de nouveau enregistré de bonnes performances financières relativement au premier trimestre 2017 : un PNB et un résultat net en hausse, respectivement, de 17,11% et de 27,82%. La publication de ces résultats (annuel 2017 et du 1 er trimestre 2018), successivement, au cours des 10 derniers jours du mois d’avril n’ont toutefois pas empêché la poursuite de la baisse du cours de l’action BOA CI sur le marché boursier, passant de 5 400 FCFA le 14 mars à 3 600 FCFA le 16 mai 2018. La perspective du paiement de dividende au titre de l’exercice 2017 (en hausse relativement à celui payé au titre de l’exercice 2016 de 8%) a contribué à la remontée (+27,77%) du cours jusqu’à quasiment la veille du paiement effectif, le 06 juin. Depuis cette date, l’évolution du cours du titre est assez volatile, oscillant entre 4 100 FCFA et 4 495 FCFA. L’appui du groupe dans la migration des nouvelles normes et le renforcement de la gestion de risques opérationnels sont des atouts importants pour le développement de BOA CI. Les perspectives de hausse de la marge d’intérêt et le potentiel qu’offre le marché des PME laissent entrevoir une amélioration des performances de l’entreprise, malgré un environnement très concurrentiel. Il n’en demeure pas moins que l’amélioration du niveau de la profitabilité qui en découle devrait se ressentir sur les dividendes de sorte à attiser l’appétit des investisseurs.
Amadou Idrissa Dia