La capitalisation boursière du marché des actions s’établit à 4 773 milliards FCFA. Les transactions en valeur du marché des actions s’établissent à 2,5 milliards FCFA en fin de semaine, portées principalement par le secteur « Services Publics » (67%). Le titre SERVAIR ABIDJAN CI réalise la plus importante progression du marché avec un gain de 24,75%, tandis que le titre NEI CEDA CI affiche la plus forte baisse avec une chute de 20,69%.
Sur le marché des matières premières, les cours de l’huile de palmier à huile et du caoutchouc poursuivent leur hausse (respectivement +10,09% et +7,15%) tandis que les cours du pétrole brut et du café ont terminé la semaine en baisse (respectivement -1,75% et -1,73%).
Sur le marché des actions, la troisième société de droit burkinabè cotée à la Bourse Régionale des Valeurs Mobilières (BRVM), Coris Bank International (CBI) domine le marché bancaire burkinabé en termes de total bilan. Ladite banque termine l’exercice 2017 avec de bonnes performances (total bilan : +27,9% ; crédits à la clientèle : +31,2% ; dépôt de la clientèle : +47,9% ; PNB : +34,18% ; Résultat Net : +19,48%). L’exercice 2018 semble s’inscrire dans cette même dynamique. Les performances du troisième trimestre traduisent bien ce fait. Par rapport à la même période en 2017, les crédits à la clientèle et les dépôts ont progressé respectivement de 27,45% et 24,44%. Dans la même veine, le PNB qui est ressorti à 41 327 millions de FCFA est en augmentation de 21,26% et le résultat net qui s’est élevé à 19 164 millions de FCFA est en hausse de 13,94%. Coris Bank International note l’économiste en chef de Bloomfield Investment , se rapproche ainsi au mieux de ses objectifs prévisionnels présentés dans sa note d’information lors de son IPO. Toutefois, l’évolution du cours du titre CBI sur le marché boursier ne reflète pas les bons fondamentaux de la banque. Le titre suit une tendance baissière depuis le début de l’année 2018 : il a perdu 15,68% de sa valeur entre le 2 janvier et le 14 décembre 2018. Cette évolution négative est partagée par l’ensemble des actions présentes dans le secteur « Finances ». La bonne résilience de CBI sur son marché traditionnel dans un contexte sécuritaire fragile et sa bonne capacité à s’étendre dans la sous-région dénotent de bonnes perspectives sur le moyen et long terme
Amadou Idrissa Dia
Sur le marché des matières premières, les cours de l’huile de palmier à huile et du caoutchouc poursuivent leur hausse (respectivement +10,09% et +7,15%) tandis que les cours du pétrole brut et du café ont terminé la semaine en baisse (respectivement -1,75% et -1,73%).
Sur le marché des actions, la troisième société de droit burkinabè cotée à la Bourse Régionale des Valeurs Mobilières (BRVM), Coris Bank International (CBI) domine le marché bancaire burkinabé en termes de total bilan. Ladite banque termine l’exercice 2017 avec de bonnes performances (total bilan : +27,9% ; crédits à la clientèle : +31,2% ; dépôt de la clientèle : +47,9% ; PNB : +34,18% ; Résultat Net : +19,48%). L’exercice 2018 semble s’inscrire dans cette même dynamique. Les performances du troisième trimestre traduisent bien ce fait. Par rapport à la même période en 2017, les crédits à la clientèle et les dépôts ont progressé respectivement de 27,45% et 24,44%. Dans la même veine, le PNB qui est ressorti à 41 327 millions de FCFA est en augmentation de 21,26% et le résultat net qui s’est élevé à 19 164 millions de FCFA est en hausse de 13,94%. Coris Bank International note l’économiste en chef de Bloomfield Investment , se rapproche ainsi au mieux de ses objectifs prévisionnels présentés dans sa note d’information lors de son IPO. Toutefois, l’évolution du cours du titre CBI sur le marché boursier ne reflète pas les bons fondamentaux de la banque. Le titre suit une tendance baissière depuis le début de l’année 2018 : il a perdu 15,68% de sa valeur entre le 2 janvier et le 14 décembre 2018. Cette évolution négative est partagée par l’ensemble des actions présentes dans le secteur « Finances ». La bonne résilience de CBI sur son marché traditionnel dans un contexte sécuritaire fragile et sa bonne capacité à s’étendre dans la sous-région dénotent de bonnes perspectives sur le moyen et long terme
Amadou Idrissa Dia