Lors d’un panel d’experts ayant échangé sur la thématique : «Quelles reformes institutionnelles pour le secteur de l’assurance au Mali», les intervenant n’ont pas voulu faire dans la politique de l’Autruche. Ils ont véritablement mis le doigt là où ça fait mal.
La représentante du Cabinet FINACTU, Stéphanie SOEDJEDE, a proposé de restructurer le secteur en améliorant son image. De même, elle a préconisé une plus forte pénétration de l’assurance pour toucher le maximum de Maliens.
Toujours dans le vent des réformes, Adama N’Diaye, Président de la FANAF, a également estime que le secteur des assurances est en pleine mutations avec l’émergence de nouveaux canaux de distribution, la transformation numérique des actes de gestion et de souscription et l’apparition de nouveaux risques.
Pour lui, ces mutations vont profondément changer l’écosystème du secteur de l’assurance dans les années à venir.
«Cette situation commande un renforcement des capacités opérationnelles des superviseurs pour leur permettre d’assurer la coordination des activités de marché tout en protégeant les intérêts des assurés et bénéficiaires de contrats», suggère le patron de la FANAF.
Enfin, il a fait cas des besoins qui devront être satisfaits. On a noté le renforcement des capacités en ressources humaines de qualité, le renforcement des capacités informatiques et digitales avec des ressources humaines dédiées et la création d’un corps de contrôleurs motivés avec le profil de carrière.
Mahamane MAIGA
La représentante du Cabinet FINACTU, Stéphanie SOEDJEDE, a proposé de restructurer le secteur en améliorant son image. De même, elle a préconisé une plus forte pénétration de l’assurance pour toucher le maximum de Maliens.
Toujours dans le vent des réformes, Adama N’Diaye, Président de la FANAF, a également estime que le secteur des assurances est en pleine mutations avec l’émergence de nouveaux canaux de distribution, la transformation numérique des actes de gestion et de souscription et l’apparition de nouveaux risques.
Pour lui, ces mutations vont profondément changer l’écosystème du secteur de l’assurance dans les années à venir.
«Cette situation commande un renforcement des capacités opérationnelles des superviseurs pour leur permettre d’assurer la coordination des activités de marché tout en protégeant les intérêts des assurés et bénéficiaires de contrats», suggère le patron de la FANAF.
Enfin, il a fait cas des besoins qui devront être satisfaits. On a noté le renforcement des capacités en ressources humaines de qualité, le renforcement des capacités informatiques et digitales avec des ressources humaines dédiées et la création d’un corps de contrôleurs motivés avec le profil de carrière.
Mahamane MAIGA