Présidée par Maouloud Ben Kattra, ministre de l’emploi et de la formation professionnelle, la cérémonie a enregistré la participation des responsables du Département, de l’APEJ, de la mairie de la commune IV et des Bureaux d’études.
Après les mots de bienvenue prononcés par M. Abidina Karembé, représentant du Maire de la commune IV du district de Bamako, le porte parole des participants a remercié le Département de l’emploi, la direction de l’APEJ et toutes les autres structures du secteur pour avoir initié cette importante activité de formation qui continuera à renforcer leurs capacités dans la réalisation d’ouvrages et d’infrastructures suivant une technique qui a déjà fait ses preuves en matière de développement local avec des investissements peu couteux.
Dans son discours d’ouverture, le ministre de l’Emploi et de la Formation professionnelle a souligné que la présente formation était une réponse aux multiples sollicitations de nos nombreux partenaires que sont les bureaux d’études et les petites et moyennes entreprises, acteurs techniques incontournables pour le développement de l’approche HIMO. En effet, la réussite d’un chantier école HIMO dépend largement de la prise en compte du concept HIMO, depuis les études techniques jusqu’à l’exécution des travaux.
Il a souhaité qu’au terme de la formation les jeunes soient renforcés dans leurs compétences techniques pour que d’autres collègues techniciens et ingénieurs puissent aussi en bénéficier.
Par ailleurs, le ministre Maouloud Ben Kattra a profité de cette occasion pour réagir aux distorsions de certaines opinions sur les statistiques de création d’emplois à l’horizon du quinquennat.
En ce sens que les chiffres avancés par le Département pour soutenir la réalisation de 200.000 emplois ne sont pas justifiés, vrais et réalistes. Certains observateurs s’accordent à soutenir que l’actuel pouvoir a plutôt fait perdre plusieurs emplois déjà créés.
Face à ces critiques, il a reconnu aux uns et aux autres leur liberté d’opinion comme il sied en démocratie. Toutefois, le ministre Maouloud Ben Kattra a vivement invité le public à mieux s’informer au lieu de contester pour contester.
Mahamane Maïga
Après les mots de bienvenue prononcés par M. Abidina Karembé, représentant du Maire de la commune IV du district de Bamako, le porte parole des participants a remercié le Département de l’emploi, la direction de l’APEJ et toutes les autres structures du secteur pour avoir initié cette importante activité de formation qui continuera à renforcer leurs capacités dans la réalisation d’ouvrages et d’infrastructures suivant une technique qui a déjà fait ses preuves en matière de développement local avec des investissements peu couteux.
Dans son discours d’ouverture, le ministre de l’Emploi et de la Formation professionnelle a souligné que la présente formation était une réponse aux multiples sollicitations de nos nombreux partenaires que sont les bureaux d’études et les petites et moyennes entreprises, acteurs techniques incontournables pour le développement de l’approche HIMO. En effet, la réussite d’un chantier école HIMO dépend largement de la prise en compte du concept HIMO, depuis les études techniques jusqu’à l’exécution des travaux.
Il a souhaité qu’au terme de la formation les jeunes soient renforcés dans leurs compétences techniques pour que d’autres collègues techniciens et ingénieurs puissent aussi en bénéficier.
Par ailleurs, le ministre Maouloud Ben Kattra a profité de cette occasion pour réagir aux distorsions de certaines opinions sur les statistiques de création d’emplois à l’horizon du quinquennat.
En ce sens que les chiffres avancés par le Département pour soutenir la réalisation de 200.000 emplois ne sont pas justifiés, vrais et réalistes. Certains observateurs s’accordent à soutenir que l’actuel pouvoir a plutôt fait perdre plusieurs emplois déjà créés.
Face à ces critiques, il a reconnu aux uns et aux autres leur liberté d’opinion comme il sied en démocratie. Toutefois, le ministre Maouloud Ben Kattra a vivement invité le public à mieux s’informer au lieu de contester pour contester.
Mahamane Maïga