C’est par cet analyse que le président de la banque africaine de développement, M. Akinwumi A. Adesina, a ouvert son allocution à l’occasion du déjeuner du nouvel an 2018 en l’honneur des membres du corps diplomatique Abidjan, côte d’ivoire, 6 février 2018.
Selon lui, la croissance du PIB réel était estimée à 3,6 % en 2017, contre 2,2 % en 2016. Il convient toutefois de noter que 18 pays africains ont affiché une croissance supérieure à 5 % en 2017, et 37 pays une croissance supérieure à 3 %.
Le patron de la BAD fait savoir que les perspectives de croissance pour les années à venir sont, en réalité, beaucoup plus prometteuses. « Notre récente publication, Perspectives économiques en Afrique , prévoit une accélération de la croissance du PIB de l’Afrique à 4,1 % en 2018 et 2019 ».
Pour lui, la relance est intervenue plus vite que ne le prévoyaient certains analystes, notamment pour les économies non dotées de ressources naturelles abondantes, ce qui témoigne essentiellement de la résilience économique de l’Afrique. « Nous « avons la tête hors de l’eau » et les économies progressent fortement et sereinement.
Dans le même temps, a-t-il poursuivi, « nous continuerons d’aider les pays africains à mettre en œuvre des politiques macroéconomiques plus saines, chemin faisant ».
Mariama Diallo
Selon lui, la croissance du PIB réel était estimée à 3,6 % en 2017, contre 2,2 % en 2016. Il convient toutefois de noter que 18 pays africains ont affiché une croissance supérieure à 5 % en 2017, et 37 pays une croissance supérieure à 3 %.
Le patron de la BAD fait savoir que les perspectives de croissance pour les années à venir sont, en réalité, beaucoup plus prometteuses. « Notre récente publication, Perspectives économiques en Afrique , prévoit une accélération de la croissance du PIB de l’Afrique à 4,1 % en 2018 et 2019 ».
Pour lui, la relance est intervenue plus vite que ne le prévoyaient certains analystes, notamment pour les économies non dotées de ressources naturelles abondantes, ce qui témoigne essentiellement de la résilience économique de l’Afrique. « Nous « avons la tête hors de l’eau » et les économies progressent fortement et sereinement.
Dans le même temps, a-t-il poursuivi, « nous continuerons d’aider les pays africains à mettre en œuvre des politiques macroéconomiques plus saines, chemin faisant ».
Mariama Diallo