C’est en ces termes qu’Adrien Diouf, Directeur de l’Agence UMOA-Titres, a levé un coin du voile de ce qu’a été le marché financier en 2018.
Ainsi, poursuit-il dans une interview-bilan, il ajoute que les montants levés restent honorables et s’inscrivent dans les mêmes grandeurs que ceux des années passées.
Même s’il convient de noter, souligne-t-il, une prépondérance des émissions d’Obligations Assimilables du Trésor (OAT) représentant 60% contre 40% de Bons Assimilables du Trésor (BAT) comparativement à 2017 dont la répartition était de 57% d’émissions de BAT contre 43% d’OAT.
Dans cette même veine, M. Diouf relève un recours plus accru des Etats aux opérations d’adjudications ciblées.
Selon lui, ces émissions spécifiques, ouvertes exclusivement aux soumissions directes des Spécialistes en Valeur du Trésor (SVT), au-delà de la mobilisation de ressources importantes sur des maturités moyen-terme, avaient également pour objectif de contribuer à la diversification de la base d’investisseurs.
Il souligne également que l’année 2018 a, par ailleurs, vu la poursuite des projets clés pour l’approfondissement du Marché des Titres Publics, en l’occurrence la notation financière des Etats membres.
A cela, le patron de l’agence UMOA-Titres y ajoute l’élaboration d’une courbe des taux, l’accessibilité directe des SGI au marché par adjudication.
En outre, poursuit-il, l’AUT a engagé des actions visant à réaliser un profilage et une segmentation de la base des investisseurs non bancaires notamment les compagnies d’assurances de la zone UEMOA.
A l’en croire, cette étude a permis d’appréhender l’évolution du portefeuille d’investissement des compagnies d’assurances et de déterminer les caractéristiques de titres publics qui seraient les plus adaptés à leur besoin au regard de leur processus d’investissement.
Il fait savoir ainsi que ces éléments permettront d’amorcer l’exécution d’une stratégie plus ciblée et optimisée à l’endroit des acteurs de ce secteur.
Mariama Diallo
Ainsi, poursuit-il dans une interview-bilan, il ajoute que les montants levés restent honorables et s’inscrivent dans les mêmes grandeurs que ceux des années passées.
Même s’il convient de noter, souligne-t-il, une prépondérance des émissions d’Obligations Assimilables du Trésor (OAT) représentant 60% contre 40% de Bons Assimilables du Trésor (BAT) comparativement à 2017 dont la répartition était de 57% d’émissions de BAT contre 43% d’OAT.
Dans cette même veine, M. Diouf relève un recours plus accru des Etats aux opérations d’adjudications ciblées.
Selon lui, ces émissions spécifiques, ouvertes exclusivement aux soumissions directes des Spécialistes en Valeur du Trésor (SVT), au-delà de la mobilisation de ressources importantes sur des maturités moyen-terme, avaient également pour objectif de contribuer à la diversification de la base d’investisseurs.
Il souligne également que l’année 2018 a, par ailleurs, vu la poursuite des projets clés pour l’approfondissement du Marché des Titres Publics, en l’occurrence la notation financière des Etats membres.
A cela, le patron de l’agence UMOA-Titres y ajoute l’élaboration d’une courbe des taux, l’accessibilité directe des SGI au marché par adjudication.
En outre, poursuit-il, l’AUT a engagé des actions visant à réaliser un profilage et une segmentation de la base des investisseurs non bancaires notamment les compagnies d’assurances de la zone UEMOA.
A l’en croire, cette étude a permis d’appréhender l’évolution du portefeuille d’investissement des compagnies d’assurances et de déterminer les caractéristiques de titres publics qui seraient les plus adaptés à leur besoin au regard de leur processus d’investissement.
Il fait savoir ainsi que ces éléments permettront d’amorcer l’exécution d’une stratégie plus ciblée et optimisée à l’endroit des acteurs de ce secteur.
Mariama Diallo