Ayant pour thème « Adhésion du Maroc à la CEDEAO : Vers un renforcement de la communauté Ouest Africaine», la conférence d’Accra a pour vocation d'écouter les perceptions et les analyses ghanéennes concernant l'adhésion marocaine.
Par ailleurs, d’autres Etats-membres de la CEDEAO seront représentés avec la participation d’experts sénégalais, ivoiriens, libériens et sierra-léonais. Les intervenants seront invités à partager leurs points de vue quant à la synergie intégrative ouest-africaine, dans le cadre d’une CEDEAO à 16, mais également à évaluer les avantages et les intérêts partagés pour la région en général ainsi que pour le Maroc et le Ghana en particulier.
Il s’agira de définir, ensemble, les moyens à mobiliser et les orientations stratégiques à promouvoir afin de faire de l’adhésion du Maroc le levier d’une émergence ouest-africaine, dans un objectif « gagnant-gagnant » et dans un cadre respectueux à la fois des spécificités nationales de chaque Etat-membre et de l’exemplarité du modèle d’intégration porté par la CEDEAO.
Cette troisième rencontre constitue un prolongement naturel du débat entamé lors de la conférence inaugurale de Dakar organisée le 29 mars, en collaboration avec l’Initiative Prospective Agricole Rural (IPAR,) et celle d’Abidjan tenue le 20 avril, en collaboration avec le Centre Ivoirien de Recherches Économiques et Sociales (CIRES). Ces deux rencontres ont connu une affluence et une participation remarquables et ceci confirme l’intérêt porté par les acteurs politiques, les opérateurs économiques, la société civile et la sphère universitaire ouest-africaine à l’égard de l’adhésion du Royaume à la CEDEAO.
«Suite à la réussite des deux premières étapes organisées dans deux pays amis du Maroc, avec lesquels nous entretenons des relations étroites, denses et multidimensionnelles, il nous est apparu nécessaire de poursuivre les échanges et les débats autour de l’adhésion du Royaume dans les pays anglophones d’Afrique de l’Ouest», a déclaré Brahim Fassi Fihri, Président de l’Institut Amadeus.
«Au Ghana, comme dans d’autres Etats-membres, il existe des réticences et des questionnements au sujet de l’adhésion du Maroc, qui sont pour l’essentiel issus d’une méconnaissance de l’approche marocaine dans la région, construite autour des notions de respect mutuel et de relations équilibrées prônées par Sa Majesté le Roi Mohammed VI. Nous discuterons à Accra de l’ensemble de ces questions, dans un esprit serein et positif», a-t-il ajouté.
Enfin, l’étape d’Accra permettra d’élargir l’Alliance régionale pour le suivi de l’adhésion du Maroc à la CEDEAO» créée à l’issue de la conférence d’Abidjan, jusque-là composée essentiellement d’institutions marocaines, sénégalaises et ivoiriennes.
Pathe TOURE
Par ailleurs, d’autres Etats-membres de la CEDEAO seront représentés avec la participation d’experts sénégalais, ivoiriens, libériens et sierra-léonais. Les intervenants seront invités à partager leurs points de vue quant à la synergie intégrative ouest-africaine, dans le cadre d’une CEDEAO à 16, mais également à évaluer les avantages et les intérêts partagés pour la région en général ainsi que pour le Maroc et le Ghana en particulier.
Il s’agira de définir, ensemble, les moyens à mobiliser et les orientations stratégiques à promouvoir afin de faire de l’adhésion du Maroc le levier d’une émergence ouest-africaine, dans un objectif « gagnant-gagnant » et dans un cadre respectueux à la fois des spécificités nationales de chaque Etat-membre et de l’exemplarité du modèle d’intégration porté par la CEDEAO.
Cette troisième rencontre constitue un prolongement naturel du débat entamé lors de la conférence inaugurale de Dakar organisée le 29 mars, en collaboration avec l’Initiative Prospective Agricole Rural (IPAR,) et celle d’Abidjan tenue le 20 avril, en collaboration avec le Centre Ivoirien de Recherches Économiques et Sociales (CIRES). Ces deux rencontres ont connu une affluence et une participation remarquables et ceci confirme l’intérêt porté par les acteurs politiques, les opérateurs économiques, la société civile et la sphère universitaire ouest-africaine à l’égard de l’adhésion du Royaume à la CEDEAO.
«Suite à la réussite des deux premières étapes organisées dans deux pays amis du Maroc, avec lesquels nous entretenons des relations étroites, denses et multidimensionnelles, il nous est apparu nécessaire de poursuivre les échanges et les débats autour de l’adhésion du Royaume dans les pays anglophones d’Afrique de l’Ouest», a déclaré Brahim Fassi Fihri, Président de l’Institut Amadeus.
«Au Ghana, comme dans d’autres Etats-membres, il existe des réticences et des questionnements au sujet de l’adhésion du Maroc, qui sont pour l’essentiel issus d’une méconnaissance de l’approche marocaine dans la région, construite autour des notions de respect mutuel et de relations équilibrées prônées par Sa Majesté le Roi Mohammed VI. Nous discuterons à Accra de l’ensemble de ces questions, dans un esprit serein et positif», a-t-il ajouté.
Enfin, l’étape d’Accra permettra d’élargir l’Alliance régionale pour le suivi de l’adhésion du Maroc à la CEDEAO» créée à l’issue de la conférence d’Abidjan, jusque-là composée essentiellement d’institutions marocaines, sénégalaises et ivoiriennes.
Pathe TOURE