La Journée des Banques et établissements financiers, vise à promouvoir et vulgariser les produits et les services bancaires, à informer, sensibiliser et participer à l’éducation financière des populations, bancariser et participer à l’inclusion financière. Si les thèmes discutés lors des précédentes éditions étaient relatives à l’actualité d’alors en général consacrés au financement et à la relance économique, cette édition n’a pas dérogé à la règle, car il s’agit de la cybercriminalité.
En effet, selon la présidente de l’APBEF, Mme Touré Coumba Sidibé « le 21ème siècle voit la concrétisation des technologies numérique comme la fin du moyen-âge en occident a vue celle de l’imprimerie. L’ère numérique ignore désormais toutes les frontières. Elle permet l’accès à la culture et à la connaissance, favorise les échanges entre les personnes. Elle rend possible la constitution d’une économie en ligne et rapproche le citoyen de son administration. Les technologies numériques sont porteuses d’innovation et de croissance, en même temps qu’elles peuvent aider ou accélérer la développement des pays émergents ».
La patronnes des patrons de banques et établissements financiers d’ajouter que « tous les progrès dans le monde génèrent aussi de nouvelles fragilités et vulnérabilités propices aux menaces ou aux risques car ils aiguisent l’imagination des criminels. Telle la cybercriminalité qui est désormais une vraie réalité ».
A ses dires, elle est d’autant plus dangereuse qu’elle pénètre au sein des familles, là où la délinquance ordinaire n’avait pas accès jusqu’à présent. Dès lors, cette nouvelle forme de criminalité, pousse les banque à l’adaptation des différents systèmes qu’ils soient informatiques, organisationnels et même judiciaires. « Alors quoi de plus normal que de choisir le thème de la cybercriminalité : menaces du 21ème siècle pour les banques » lorsqu’on sait que la base de la relation entre le client et sa banque, est la confiance que le premier porte à la seconde. Or il se trouve que les banques sont une cible de choix pour les hackers » a-t-elle expliqué.
En tout cas, face à la cybercriminalité, les banques maliennes, à l’image de leur consœurs du reste du monde font recours à la cybersécurité pour faire échec aux hackers et veiller à la sécurisation des fonds de leurs clients.
C’est pourquoi, la présidente de l’APBEF dira que « les banques et établissements financiers sont dans la dynamique de relever les défis et obstacles à la construction au Mali d’un secteur financier accessible à tous et sécurisé. A ce titre, notre profession cherchera à susciter et à renforcer l’adhésion des décideurs politiques et autres acteurs concernés à ses efforts visant à assurer aux populations à faibles revenus, ainsi qu’aux micros entreprises, un accès durable à une large gamme de produits et services financiers. L’objectif final étant la construction d’un secteur financier inclusif pour le développement et la croissance économique de notre pays ».
Au nom du ministre de l’Economie et des finances, le secrétaire général de ce département, Mme Sidibé Zamilatou Cissé dira que cette journée est un évènement important dans l’agence des grandes rencontres du pays. Elle témoignage du dynamisme de l’APBEF et de la vitalité du secteur bancaire malien.
Ibrahim Youssef
En effet, selon la présidente de l’APBEF, Mme Touré Coumba Sidibé « le 21ème siècle voit la concrétisation des technologies numérique comme la fin du moyen-âge en occident a vue celle de l’imprimerie. L’ère numérique ignore désormais toutes les frontières. Elle permet l’accès à la culture et à la connaissance, favorise les échanges entre les personnes. Elle rend possible la constitution d’une économie en ligne et rapproche le citoyen de son administration. Les technologies numériques sont porteuses d’innovation et de croissance, en même temps qu’elles peuvent aider ou accélérer la développement des pays émergents ».
La patronnes des patrons de banques et établissements financiers d’ajouter que « tous les progrès dans le monde génèrent aussi de nouvelles fragilités et vulnérabilités propices aux menaces ou aux risques car ils aiguisent l’imagination des criminels. Telle la cybercriminalité qui est désormais une vraie réalité ».
A ses dires, elle est d’autant plus dangereuse qu’elle pénètre au sein des familles, là où la délinquance ordinaire n’avait pas accès jusqu’à présent. Dès lors, cette nouvelle forme de criminalité, pousse les banque à l’adaptation des différents systèmes qu’ils soient informatiques, organisationnels et même judiciaires. « Alors quoi de plus normal que de choisir le thème de la cybercriminalité : menaces du 21ème siècle pour les banques » lorsqu’on sait que la base de la relation entre le client et sa banque, est la confiance que le premier porte à la seconde. Or il se trouve que les banques sont une cible de choix pour les hackers » a-t-elle expliqué.
En tout cas, face à la cybercriminalité, les banques maliennes, à l’image de leur consœurs du reste du monde font recours à la cybersécurité pour faire échec aux hackers et veiller à la sécurisation des fonds de leurs clients.
C’est pourquoi, la présidente de l’APBEF dira que « les banques et établissements financiers sont dans la dynamique de relever les défis et obstacles à la construction au Mali d’un secteur financier accessible à tous et sécurisé. A ce titre, notre profession cherchera à susciter et à renforcer l’adhésion des décideurs politiques et autres acteurs concernés à ses efforts visant à assurer aux populations à faibles revenus, ainsi qu’aux micros entreprises, un accès durable à une large gamme de produits et services financiers. L’objectif final étant la construction d’un secteur financier inclusif pour le développement et la croissance économique de notre pays ».
Au nom du ministre de l’Economie et des finances, le secrétaire général de ce département, Mme Sidibé Zamilatou Cissé dira que cette journée est un évènement important dans l’agence des grandes rencontres du pays. Elle témoignage du dynamisme de l’APBEF et de la vitalité du secteur bancaire malien.
Ibrahim Youssef