Organisé par le ministère de l’Emploi et de la Formation professionnelle à travers l’Agence nationale pour l’emploi (ANPE), le SARI est un espace qui permet d’informer et de sensibiliser davantage les acteurs du marché de l’emploi et de la formation professionnelle sur le rôle que l’ANPE et ses partenaires jouent dans le cadre de la promotion de l’emploi à travers l’intermédiation.
Placé sous le thème « Intermédiation : outil efficace de promotion de l’emploi », le SARI donne rendez-vous pendant trois jours aux entreprises, aux bureaux de placement payant, aux entreprises de travail temporaires, aux institutions de financement et de garantis, aux institutions de formations et autres acteurs du marché du travail pour échanger sur des thématiques visant la promotion de l’emploi.
Dans le cadre de renforcer les actions de promotion et de création d’emplois, le SARI constitue une opportunité pour une capitalisation des expériences pratiques sur le rapprochement de l’offre et de la demande d’emploi ; d’orienter et conseiller les demandeurs d’emploi et d’entreprises ; d’améliorer les pratiques relatives à l’intermédiation pour la promotion et la création d’emploi, etc.
Aussi pour relever le défi, le salon va présenter 50 idées projets, accueillir 50 entreprises et structures qui vont présenter leurs offres, animer des conférences…
Selon le Directeur général de l’ANPE, Ibrahim Ag Nock, ce salon est une excellente aubaine pour les jeunes pour ‘se vendre’ sur le marché de l’emploi et aux employeurs de mieux faire connaître leurs services.
Ouvrant les travaux, le ministre de l’Emploi et de la Formation professionnelle, Maouloud Ben Kattra, représentant le Premier ministre, a affirmé que le problème de chômage se pose avec acuité et aucun pays fut-il nanti, n’est épargné par le phénomène. « Au Mali, malgré le recrutement qui se fait périodiquement au niveau de la Fonction publique, des centaines de milliers de nouveaux diplômés se retrouvent toujours sur le marché de l’emploi », a-t-il déploré.
Pour faire face à l’ampleur du phénomène, Maouloud Ben Kattra pense que l’accompagnement du secteur privé est fondamental. « C’est la raison pour laquelle le gouvernement du Mali privilégie le partenariat public-privé, dans une synergie d’actions et pour un développement global et inclusif », a-t-il dit.
Mahamane Maïga
Placé sous le thème « Intermédiation : outil efficace de promotion de l’emploi », le SARI donne rendez-vous pendant trois jours aux entreprises, aux bureaux de placement payant, aux entreprises de travail temporaires, aux institutions de financement et de garantis, aux institutions de formations et autres acteurs du marché du travail pour échanger sur des thématiques visant la promotion de l’emploi.
Dans le cadre de renforcer les actions de promotion et de création d’emplois, le SARI constitue une opportunité pour une capitalisation des expériences pratiques sur le rapprochement de l’offre et de la demande d’emploi ; d’orienter et conseiller les demandeurs d’emploi et d’entreprises ; d’améliorer les pratiques relatives à l’intermédiation pour la promotion et la création d’emploi, etc.
Aussi pour relever le défi, le salon va présenter 50 idées projets, accueillir 50 entreprises et structures qui vont présenter leurs offres, animer des conférences…
Selon le Directeur général de l’ANPE, Ibrahim Ag Nock, ce salon est une excellente aubaine pour les jeunes pour ‘se vendre’ sur le marché de l’emploi et aux employeurs de mieux faire connaître leurs services.
Ouvrant les travaux, le ministre de l’Emploi et de la Formation professionnelle, Maouloud Ben Kattra, représentant le Premier ministre, a affirmé que le problème de chômage se pose avec acuité et aucun pays fut-il nanti, n’est épargné par le phénomène. « Au Mali, malgré le recrutement qui se fait périodiquement au niveau de la Fonction publique, des centaines de milliers de nouveaux diplômés se retrouvent toujours sur le marché de l’emploi », a-t-il déploré.
Pour faire face à l’ampleur du phénomène, Maouloud Ben Kattra pense que l’accompagnement du secteur privé est fondamental. « C’est la raison pour laquelle le gouvernement du Mali privilégie le partenariat public-privé, dans une synergie d’actions et pour un développement global et inclusif », a-t-il dit.
Mahamane Maïga